Le Racing dans la presse

[Gorkh]

De toutes façons, le rose c'est pour les gonzesses et le Stade Toulousain, avec leur effectif, ils devraient être champions d'Europe et champion de France tous les ans. Moins et on peut dire que leur saison est complètement foirée :lol:

[Chris CB]

Ouais, on devrait... D'ailleurs, ça sera la cas cette année. Brenus, HCup, 6 nations et coupe du monde... Parce que faut pas oublier que le Stade Toulousain ne joue pas sur deux tableaux mais sur 4. Enfin bref... voilà le Racing est une belle équipe dont le jeu est apprécié à Toulouse. Le sf n'est pas mal en point, cette année, sur 14 équipes du top14, il y en a 11 qui joue une place en phases finales... forcement, tout le monde pourra pas y être, et il est tout a fait possible que stade français n'y soit pas, non pas parce qu'ils sont moins bons, mais parce que les autres sont meilleurs.

Mais ce n'est pas le sujet de ce fils...

[chomelaregle]

Ouais, on devrait... D'ailleurs, ça sera la cas cette année. Brenus, HCup, 6 nations et coupe du monde... Parce que faut pas oublier que le Stade Toulousain ne joue pas sur deux tableaux mais sur 4. Enfin bref... voilà

ce sont des choses qui arrivent quand on achète de l'international :mrgreen:

[Chris CB]

L'an dernier, le Stade Toulousain a d'ailleurs eu deux titres : La HCup et le 6 Nations. On a donc bien fait le doublé hihi ...

(Mais je cause, je cause, mais c'est pas dans la presse tout ça).

[la crapouille]

Ahhhh le stade français, guazzini et ses ..... et ses "supporters" , je vous adore
Merci de toutes tes intentions à mon egard mais je t'en prie( je sais plus ton nom) ne me mets pas dans ta conversation bidon avec ton club et ton président
Le type (max) il est blazé parce qu'il ne fait plus la Une et ne peut plus avoir autant de pognon qu'avant. Bientot les elections "Coco" avec son copain Delanoe.
Tu ne sais plus qui faire au stade français pour t'amuser

[la crapouille]

Le Racing nouveau leader


Grâce à sa victoire bonifiée face à Bourgoin ce samedi à Colombes (51 à 20), le Racing-Metro s'installe seul en tête du Top 14 avec 23 points au compteur. Les Franciliens, auteurs de six essais, ont fait la différence en deuxième mi-temps et confirmé leur excellent début de saison.
Engagement réussi pour les hommes de Berbizier et Mannix qui remportent la rencontre face à Bourgoin grâce à six essais (30e, 51e, 57e, 59e, 74e et 78e). Les démons du passé semblent bien loin pour les Franciliens qui n’avaient encore jamais battu les Berjalliens en Top 14 chez eux. Les Ciel et Blanc peuvent se rassurer, la victoire est là, avec un bonus offensif en prime. Le nouveau leader du classement a montré un beau visage à l’occasion de la septième journée de championnat. Toutefois il aura fallu attendre la seconde période pour assister au règne du Racing. En effet, en première mi-temps, les joueurs franciliens commettaient un nombre incalculable de fautes, leur discipline leur faisait cruellement défaut et les nombreuses situations de surnombre sur l’aile n’étaient pas exploitées. Et malgré un essai de l’ouvreur Wisniewski (30e), Bourgoin ne se montrait pas en victime et exploitait chaque ballon jusqu’à ce que la perle fidjienne nommée Nadolo file à grande vitesse sur l’aile, laissant entre temps son compatriote Bobo et l’international Fall figés. A la mi-temps, l’inquiétude se lisait sur les visages des Racingmen, Berbizier demandait plus d’application. La première période se terminait sur une prestation décevante des Franciliens, comme pétrifiés, et Bourgoin n’avait plus que quatre unités de retard (17-13).

Trop dur physiquement

Après une seule victoire face au promu agenais (22-15), les Berjaliens avaient à cœur de marquer le coup et si ce n’est de ramener un point de bonus défensif, si important quand on est en position de lanterne rouge. La première période a véritablement mis en lumière la capacité de Bourgoin à entrer dans son match et à accrocher le Racing-Metro. Et un peu avant la demi heure de jeu, les deux équipes étaient à égalité (6-6), et ce n’est que l’indiscipline de Nadolo qui écopait d’un carton jaune pour un placage haut (25e), qui permit aux joueurs de Mannix d’inscrire le premier essai de la rencontre. Le Fidjien aux capacités exceptionnelles revenait dix minutes plus tard, enragé, pour marquer l'essai de son équipe, comme pour se racheter.

A l’inverse de la première partie, la seconde période a été une correction pour les Berjaliens, en quête de repères. Cinq essais en seulement une demi-heure mettaient en exergue les faiblesses du collectif isérois, trop juste physiquement et moralement. La magnifique percée de Coetzee dans le rideau défensif du Racing (66e) n’y changera rien, le Racing a brillé par sa supériorité. Le vaillant Bourgoin repart une nouvelle fois les mains vides et la réception du RCT la semaine prochaine s’annonce d’ores et déjà complexe.

Probant leader

Le Racing-Métro est donc le leader incontestable à l’issue de la septième journée de championnat. Et quel leader ! Rappelez-vous, il y a tout juste un an, les hommes de Berbizier réussissaient la formidable ascension de monter en Top 14. Une anuité plus tard ils sont leaders. Et le moins que l’on puisse dire est que les Racingmen n’ont pas chômé pour venir à bout du courageux Bourgoin. Un festival d’essais et une main mise quasi totale sur le ballon en seconde mi-temps, ont permis au club d’obtenir leur deuxième bonus offensif consécutif. Le Racing est donc dans une forme olympique, et la réception du BOPB pour la huitième journée pourrait bien constituer la passe de trois !


Obligé de le mettre celui là avec un titre comme ça
Pourvu que ça dure

[Chris CB]

Betis, oui je plaisante... Même si c'est un peu vrai (ahahah ). Le Stade Toulousain n'est que la moitié de l'équipe de France, pas la totalité

[Templier92]

Et un nouvel article du Parisien (du jour) sur le Racing

Le Racing voit plus loin

Si les premiers ballons de rugby ont commencé à fleurir du côté du Racing en 1890, l’équipe en tête du Top 14 n’est qu’une jeune pousse de 3 ans. Le projet imaginé par Jacky Lorenzetti lors de sa reprise du club en Pro D2 en 2006 a trouvé son véritable point de départ avec l’arrivée de Pierre Berbizier en octobre 2007. Depuis, la progression semble irrésistible, en termes de résultats sportifs, de structures et de notoriété. Le ciel et le blanc sont des couleurs d’avenir.

Des titres à conquérir

Doté d’un budget de 19Meuros (le 5e du Top 14), de joueurs comme Chabal, Nallet, Hernandez, Steyn ou Fall, locomotives d’un groupe qui se connaît bien, le tout frais leader du Top 14 a déjà lesmoyens de ses ambitions. « Le Racing a tout pour être champion de France et d’Europe », a réagi Xavier Péméja, l’entraîneur de Bourgoin, après la défaite des siens à Colombes samedi (51-20). « Il faut se dépêcher de gagner le bouclier de Brennus cette saison car, après, le Racing va être imbattable », prévient de son côté Mourad Boudjellal, le président de Toulon. Jacky Lorenzetti, qui pense parvenir à l’équilibre financier sans avoir à ajouter un euro de sa poche la saison prochaine, ne compte pas en effet s’arrêter de recruter.

Des structures en développement

Prévu pour 2014 à deux pas de l’Arche deLaDéfense, l’Arena 92 est encore à l’état de maquette.Cette enceinte de 30 000 à 40 000 places en configuration rugby ou spectacle, dont le permis de construire sera déposé au printemps prochain, est la pierre angulaire du projet. Elle permettra au club de dégager des bénéfices. Pour ses entraînements, le Racing, qui cherche à agrandir ses locaux, pourrait quitter Antony pour Le Plessis-Robinson (Hauts-de-Seine). Autre objet de ses attentions, le centre de formation, créé il y a deux ans et regroupant 22 pensionnaires. Chavancy et Lorée en sont issus. Lane, Tadjer, Kraska et Ben Arous sont intégrés, ponctuellement, dans l’équipe pro.

Une image à travailler

Son plus gros coup médiatique, le Racing l’a réalisé avec la venue de Chabal la saison passée. Pour exister à Paris, le club a besoin d’être connu et attractif. Il multiplie donc les initiatives : ouverture d’une boutique de vêtements boulevard Saint-Germain à Paris, réceptions pour ses partenaires dans la luxueuse Cité de l’eau à Colombes les jours de match. Son souci est de ne pas trop s’éloigner des « valeurs originelles » du rugby. « On nous associe à l’argent », regrette Berbizier. Autre problème : ne
pas copier le rival, le Stade Français, en misant sur le côté spectacle. Du coup, le club francilien n’a pas été en mesure d’organiser le prochain derby, le 4 décembre, au Stade de France. Un domaine dans lequel il possède encore une marge de progression.

OLIVIER FRANÇOIS



Les anciens du club sont élogieux

Voir le Racing prendre les rênes Vdu Top 14 ravit les glorieux an- ciens. « Ça fait plaisir, commente Patrick Serrière, l’ancien deuxième ligne et capitaine des champions de France en 1990, mais c’est anecdotique. Avant tout, on recherche un sacre, vingt ans après le dernier titre. » Michel Tachdjian, son partenaire au sein du cinq de devant, se frotte les mains : « Ils gagnent et ils amènent du monde à Colombes. C’est l’embellie, le renouveau du Racing.»

Avec son franc-parler, Jean-Baptiste Lafond ne manie pas la langue de bois. « Je serais déçu si nous n’étions pas dans le dernier carré. Après, il reste un match et une finale à jouer chez toi, au Stade de France, comme l’a fait le Stade Français pendant dix ans. C’est un énorme avantage. » Plus pondéré, Laurent Cabannes, l’ex-troisième ligne aile, calme le jeu. «Premier à la 7e journée, cela ne veut rien dire, les grosses écuries ne carburent pas encore. » « Un jour, on sera champions, assure toutefois Serrière. On a le sentiment que cette aventure n’est pas un feu de paille, cela peut durer. »

Satisfaits de la réussite, tous louent la complémentarité du tandem Lorenzetti-Berbizier. « Quand, avec Eric (Blanc), nous leur avons confié le bébé, raconte Franck Mesnel, l’ancien ouvreur, nous étions convaincus qu’ils étaient les hommes de la situation. Ce duo fonctionne à merveille. Pierre (Berbizier) est mon ami. Il est franc du collier. Depuis vingt ans, même si ça dérange, il reste fidèle à ses idées. »

Pour avoir pas mal bourlingué, Serrière, le chef d’entreprise, se veut élogieux à l’égard de Jacky Lorenzetti. « On est tombés sur une perle rare, résume-t-il. Quand un chef d’entreprise investit dans le sport, il lui arrive souvent de perdre de sa rigueur.Or, il s’implique autant que dans son boulot. » « Jacky s’est donné les moyens de réussir, ajouteMesnel. Et Pierre a la capacité de comprendre et de s’adapter au rugby professionnel. »

La mayonnaise a pris plus vite que prévu. « Ce groupe vit bien, se félicite Tachdjian. Ils sont heureux de s’entraîner et de vivre ensemble. » En fin connaisseur, Lafond met en exergue le recrutement : « Ils ne se sont pas trompés. Les joueurs sont interchangeables. Pour le moment, on n’a pas de blessés. Ma seule interrogation est de savoir si, devant, on tiendra huit mois. » En attendant, le Racing peut rêver.

BERTRAND BOURGEAULT

[Templier92]

Dans l'Équipe d'hier, une interview de Berbiz'.

On procède comme d'hab' par MP (avec l'adresse mél.) pour ceux qui seraient intéressés.

[vincent]

Aujourd'hui Racing News (Le journal d'avant match distribué au stade)
Ben ce Racing News est au complet dans le 20 minutes 8-)

http://pdf.20minutes.fr.s3-external-3.a ... 23_PAR.pdf