Le Racing dans la presse
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Re: Le Racing dans la presse
Dépêche
Bleus : Nallet va arrêter après le Mondial
Rédaction Rugby365.fr
samedi 24 juillet 2010 - 14h48
Lionel Nallet a reconnu qu'il allait « très certainement » mettre un terme à sa carrière internationale après la Coupe du monde 2011.
Interrogé sur son avenir au Racing-Métro, Lionel Nallet a indiqué qu'il honorerait ses deux dernières années de contrat. Le deuxième ligne a en revanche reconnu qu'il devrait prendre sa retraite internationale après la Coupe du monde 2011. « Mon dernier challenge était de finir avec le Racing, de connaitre quelque chose d'autre et de bien figurer, a déclaré Lionel Nallet en conférence de presse. Il me reste deux ans avec le Racing. Certes, il y a la Coupe du monde. Mais ma carrière ne sera pas finie après la Coupe du monde avec le Racing. Ma carrière internationale très certainement mais il me restera encore une année avec le club. Je me trouve très bien ici et j'ai envie d'être présent jusqu'au bout et d'honorer mon contrat. »
Bleus : Nallet va arrêter après le Mondial
Rédaction Rugby365.fr
samedi 24 juillet 2010 - 14h48
Lionel Nallet a reconnu qu'il allait « très certainement » mettre un terme à sa carrière internationale après la Coupe du monde 2011.
Interrogé sur son avenir au Racing-Métro, Lionel Nallet a indiqué qu'il honorerait ses deux dernières années de contrat. Le deuxième ligne a en revanche reconnu qu'il devrait prendre sa retraite internationale après la Coupe du monde 2011. « Mon dernier challenge était de finir avec le Racing, de connaitre quelque chose d'autre et de bien figurer, a déclaré Lionel Nallet en conférence de presse. Il me reste deux ans avec le Racing. Certes, il y a la Coupe du monde. Mais ma carrière ne sera pas finie après la Coupe du monde avec le Racing. Ma carrière internationale très certainement mais il me restera encore une année avec le club. Je me trouve très bien ici et j'ai envie d'être présent jusqu'au bout et d'honorer mon contrat. »
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Re: Le Racing dans la presse
Non, meme aspect physique je pense.
Je pense surtout à un (encore) coup de pub comme son ourson.
Monsieur gère correctement sa (ses) carrière(s) professionnelle(s).
Pas folle la guèpe :mrgreen:
Je pense surtout à un (encore) coup de pub comme son ourson.
Monsieur gère correctement sa (ses) carrière(s) professionnelle(s).

Pas folle la guèpe :mrgreen:
Re: Le Racing dans la presse
Qu'on se rassure , Sebastien Chabal a garder ses poils , la réponse est simplement un nouveau tatouage
http://www.sebastienchabal.fr/la-repons ... n-de-lete/
http://www.sebastienchabal.fr/la-repons ... n-de-lete/
Re: Le Racing dans la presse
Pas dans la presse écrite , mais sur le net lnr.com :
Jonathan Wisniewski (Racing-Métro 92) : « Un standing à honorer »
Promu la saison dernière en TOP 14 Orange, le Racing-Métro 92 et son budget conséquent n’y ont pas fait de la figuration : une sixième place et une défaite in extremis en barrages chez le futur champion clermontois. Pour le demi d’ouverture du Racing, il faudra être prêt dès le premier match pour confirmer le renouveau des Ciel et Blanc.
Comment s’est passée la reprise ?
Tout se passe bien, on est contents de se retrouver, de découvrir les petits nouveaux.
Le Racing a encore beaucoup recruté !
Oui, le club est ambitieux ! Pierre (Berbizier) et Jacky (Lorenzetti) se sont chargés de recruter en quantité et en qualité, ces nouveaux peuvent nous apporter beaucoup. La grande force de cette équipe, c’est que nous avons gardé l’ossature de celle de l’an passé : les trois-quarts des joueurs sont toujours là. C’est une très bonne chose, cela montre que le club travaille dans la continuité. Maintenant, on intègre au mieux les nouveaux arrivants, et je suis convaincu qu’ils nous apporteront une plus-value intéressante.
Comment se passe la cohabitation avec Juan Martin Hernandez ?
Pour l’instant, très bien ! Je ne le connaissais pas personnellement avant de le rencontrer lors de la reprise. On a eu l’occasion de discuter, c’est quelqu’un de très gentil, qui nous apportera beaucoup. Après, lequel de nous deux jouera, ce sera à Pierre (Berbizier) d’en décider !
Quels sont vos objectifs personnels ?
Je n’ai pas d’objectifs précis, sinon de bien commencer le championnat avec le reste de l’équipe ! Nous devrons être prêts d’entrée de jeu, car le début du calendrier est difficile, avec trois déplacements (à Brive, Montpellier et Toulon) avant de recevoir Clermont. Il faudra bien démarrer collectivement ce championnat afin de lancer l’équipe sur de bons rails. Pour l’instant, c’est le seul objectif que je me fixe : être prêt pour la première journée. Le reste suivra.
Après les barrages la saison dernière, l’objectif du club serait logiquement d’aller plus haut…
Oui et non ! Ce sera très compliqué, car toutes les équipes se sont bien renforcées. On a envie de retourner en phases finales, mais toutes les équipes auront cette envie, donc ce sera difficile.
D’autant plus que la saison dernière, nous avions bénéficié de l’effet de surprise : on ne nous attendait pas forcément aussi haut, aussi vite. Il faudra confirmer, ce qui est toujours plus dur que de surprendre. Nous avons maintenant un standing à honorer.
L’objectif premier, c’est de réussir à pérenniser le club en TOP 14 Orange. On a vu par le passé des places fortes du rugby comme Agen ou Narbonne descendre alors qu’ils figuraient parmi les meilleurs. Il faut donc rester lucide, et faire en sorte que le Racing continue à progresser.
Au-delà des recrues, le club fournit de très bons jeunes. Lequel peut exploser cette saison ?
On fonctionne plus sur la continuité de l’an dernier, donc je pense à des garçons comme Mathieu Lorée ou Nathan Lane. On a vu leur potentiel, ils vont confirmer cette saison, s’affirmer. La saison sera longue, il y aura forcément des blessures, donc ils auront l’occasion de saisir leur chance.
Pierre (Berbizier) intègre les jeunes du centre de formation aux entraînements depuis la reprise, c’est très positif. Il y a beaucoup de jeunes de qualité dans notre équipe Espoirs. Mais en sortir un… C’est très compliqué, ça dépend de beaucoup de facteurs. En rugby, les choses peuvent aller très vite.
Comment jugez-vous le niveau du TOP 14 Orange ?
Je n’ai qu’une année d’expérience en TOP 14 Orange, donc c’est compliqué pour moi de le juger ! Je sais juste que c’est un championnat long, difficile et très exigeant. Le niveau est très serré, il n’y a aucun match facile, où l’on peut se dire : « aujourd’hui, on fait l’impasse ». C’est impossible ! Une défaite imprévue, et toute une saison peut partir en l’air ! C’est ce qui fait que ce championnat est excitant.
Et puis, la nouvelle formule est attrayante : avec les barrages, plus d’équipes peuvent se mêler à la course au titre, et moins d’équipes lâchent prise en fin de saison parce qu’elles sont larguées dans la course au places qualificatives. Ca nous a servi la saison dernière !
Les favoris sont connus, mais une équipe peut-elle créer la surprise ?
Effectivement, les favoris devraient toujours être là. Les 4 ou 5 grosses équipes devraient se partager les premières places, mais dans quel ordre…
Après, je vois bien Castres se mêler à cette lutte. C’est une équipe plus qu’intéressante, ils produisent un jeu de qualité. Ils sont dans la continuité de la saison passée, je les vois haut dans le classement.
A Montpellier, l’arrivée de Fabien Galthié devrait leur donner un nouvel élan, ils sont capables de jouer les trouble-fêtes.
Propos recueillis par Guillaume PALACIOS
Jonathan Wisniewski (Racing-Métro 92) : « Un standing à honorer »
Promu la saison dernière en TOP 14 Orange, le Racing-Métro 92 et son budget conséquent n’y ont pas fait de la figuration : une sixième place et une défaite in extremis en barrages chez le futur champion clermontois. Pour le demi d’ouverture du Racing, il faudra être prêt dès le premier match pour confirmer le renouveau des Ciel et Blanc.
Comment s’est passée la reprise ?
Tout se passe bien, on est contents de se retrouver, de découvrir les petits nouveaux.
Le Racing a encore beaucoup recruté !
Oui, le club est ambitieux ! Pierre (Berbizier) et Jacky (Lorenzetti) se sont chargés de recruter en quantité et en qualité, ces nouveaux peuvent nous apporter beaucoup. La grande force de cette équipe, c’est que nous avons gardé l’ossature de celle de l’an passé : les trois-quarts des joueurs sont toujours là. C’est une très bonne chose, cela montre que le club travaille dans la continuité. Maintenant, on intègre au mieux les nouveaux arrivants, et je suis convaincu qu’ils nous apporteront une plus-value intéressante.
Comment se passe la cohabitation avec Juan Martin Hernandez ?
Pour l’instant, très bien ! Je ne le connaissais pas personnellement avant de le rencontrer lors de la reprise. On a eu l’occasion de discuter, c’est quelqu’un de très gentil, qui nous apportera beaucoup. Après, lequel de nous deux jouera, ce sera à Pierre (Berbizier) d’en décider !
Quels sont vos objectifs personnels ?
Je n’ai pas d’objectifs précis, sinon de bien commencer le championnat avec le reste de l’équipe ! Nous devrons être prêts d’entrée de jeu, car le début du calendrier est difficile, avec trois déplacements (à Brive, Montpellier et Toulon) avant de recevoir Clermont. Il faudra bien démarrer collectivement ce championnat afin de lancer l’équipe sur de bons rails. Pour l’instant, c’est le seul objectif que je me fixe : être prêt pour la première journée. Le reste suivra.
Après les barrages la saison dernière, l’objectif du club serait logiquement d’aller plus haut…
Oui et non ! Ce sera très compliqué, car toutes les équipes se sont bien renforcées. On a envie de retourner en phases finales, mais toutes les équipes auront cette envie, donc ce sera difficile.
D’autant plus que la saison dernière, nous avions bénéficié de l’effet de surprise : on ne nous attendait pas forcément aussi haut, aussi vite. Il faudra confirmer, ce qui est toujours plus dur que de surprendre. Nous avons maintenant un standing à honorer.
L’objectif premier, c’est de réussir à pérenniser le club en TOP 14 Orange. On a vu par le passé des places fortes du rugby comme Agen ou Narbonne descendre alors qu’ils figuraient parmi les meilleurs. Il faut donc rester lucide, et faire en sorte que le Racing continue à progresser.
Au-delà des recrues, le club fournit de très bons jeunes. Lequel peut exploser cette saison ?
On fonctionne plus sur la continuité de l’an dernier, donc je pense à des garçons comme Mathieu Lorée ou Nathan Lane. On a vu leur potentiel, ils vont confirmer cette saison, s’affirmer. La saison sera longue, il y aura forcément des blessures, donc ils auront l’occasion de saisir leur chance.
Pierre (Berbizier) intègre les jeunes du centre de formation aux entraînements depuis la reprise, c’est très positif. Il y a beaucoup de jeunes de qualité dans notre équipe Espoirs. Mais en sortir un… C’est très compliqué, ça dépend de beaucoup de facteurs. En rugby, les choses peuvent aller très vite.
Comment jugez-vous le niveau du TOP 14 Orange ?
Je n’ai qu’une année d’expérience en TOP 14 Orange, donc c’est compliqué pour moi de le juger ! Je sais juste que c’est un championnat long, difficile et très exigeant. Le niveau est très serré, il n’y a aucun match facile, où l’on peut se dire : « aujourd’hui, on fait l’impasse ». C’est impossible ! Une défaite imprévue, et toute une saison peut partir en l’air ! C’est ce qui fait que ce championnat est excitant.
Et puis, la nouvelle formule est attrayante : avec les barrages, plus d’équipes peuvent se mêler à la course au titre, et moins d’équipes lâchent prise en fin de saison parce qu’elles sont larguées dans la course au places qualificatives. Ca nous a servi la saison dernière !
Les favoris sont connus, mais une équipe peut-elle créer la surprise ?
Effectivement, les favoris devraient toujours être là. Les 4 ou 5 grosses équipes devraient se partager les premières places, mais dans quel ordre…
Après, je vois bien Castres se mêler à cette lutte. C’est une équipe plus qu’intéressante, ils produisent un jeu de qualité. Ils sont dans la continuité de la saison passée, je les vois haut dans le classement.
A Montpellier, l’arrivée de Fabien Galthié devrait leur donner un nouvel élan, ils sont capables de jouer les trouble-fêtes.
Propos recueillis par Guillaume PALACIOS
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Re: Le Racing dans la presse
Encore cette année, je plains ceux qui le verront de près... :mrgreen: :mrgreen:psy78 a écrit :Qu'on se rassure , Sebastien Chabal a garder ses poils , la réponse est simplement un nouveau tatouage![]()
http://www.sebastienchabal.fr/la-repons ... n-de-lete/

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La concurrence se fait déjà sentir au Racing
dans le Parisien d'aujourd'hui
La concurrence se fait déjà sentir au Racing
Sous le regard du magicien Juan Martin Hernandez, Sébastien Chabal, à peine entré sur la pelouse, décide de tester son coup de pied. Cinquante mètres plus loin, François Steyn capte le ballon et rigole. Mais hier, à laCroix-de-Berny, à Antony (Hauts-de-Seine), les sourires des Racingmen n’ont pas duré très longtemps. Ils se sont vite effacés au cours d’une séance d’entraînement intensive axée sur la défense. Après-demain à Perpignan, les hommes de Pierre Berbizier devront montrer un tout autre visage que celui de la semaine dernière à Toulon, où ils ont été balayés en amical (39-10). « On sera alors à sept jours de la reprise à Brive (NDLR : le 13 août), indique l’entraîneur adjoint, SimonMannix. La compétition approche et si nous avons bien travaillé physiquement, maintenant, nous devons progresser dans le jeu. On a été déçus à Toulon. »
Sur le terrain, Juan Martin Hernandez, encore convalescent, Benjamin Fall (cheville) et Nicolas Durand (cervicales), légèrement touchés, restent à l’écart et regardent leurs partenaires plaquer à tour de bras. «On ne veut prendre aucun risque, ajoute Mannix. On sait que la saison sera très longue, qu’on aura au minimum trente-deux matchs à faire, alors, on préfère laisser les joueurs au repos même s’ils n’ont pas grand-chose. »
Les places de titulaires vaudront cher
Indifférent aux supporteurs qui sollicitent Chabal, le talonneur Benjamin Noirot sort de la séance ragaillardi. « Je suis gonflé à bloc, motivé comme jamais, lâche-t-il. J’ai fait des efforts, j’ai perdu 14 kg. La concurrence va être terrible cette saison. J’ai des choses à prouver par rapport à l’année dernière (NDLR : il avait été suspendu un mois puis blessé). Perpignan, pour moi, ce n’est pas un match amical, c’est déjà le début du championnat. » Mirco Bergamasco approuve. Le trois-quarts italien, venu du Stade Français où il a passé sept ans, n’a pas mis longtemps à sentir l’ambition du club. « Pour les joueurs qui viennent d’arriver, comme moi, le match à Perpignan est très important. Nous devons montrer nos qualités et notre capacité à nous intégrer. » Les places de titulaires seront chères cette saison. « Il me tarde de voir Hernandez à l’oeuvre, reprend Noirot. Ce n’est pas El Mago pour rien. Etre dans l’équipe d’un tel joueur, ça marque une carrière. »
OLIVIER FRANÇOIS
La concurrence se fait déjà sentir au Racing
Sous le regard du magicien Juan Martin Hernandez, Sébastien Chabal, à peine entré sur la pelouse, décide de tester son coup de pied. Cinquante mètres plus loin, François Steyn capte le ballon et rigole. Mais hier, à laCroix-de-Berny, à Antony (Hauts-de-Seine), les sourires des Racingmen n’ont pas duré très longtemps. Ils se sont vite effacés au cours d’une séance d’entraînement intensive axée sur la défense. Après-demain à Perpignan, les hommes de Pierre Berbizier devront montrer un tout autre visage que celui de la semaine dernière à Toulon, où ils ont été balayés en amical (39-10). « On sera alors à sept jours de la reprise à Brive (NDLR : le 13 août), indique l’entraîneur adjoint, SimonMannix. La compétition approche et si nous avons bien travaillé physiquement, maintenant, nous devons progresser dans le jeu. On a été déçus à Toulon. »
Sur le terrain, Juan Martin Hernandez, encore convalescent, Benjamin Fall (cheville) et Nicolas Durand (cervicales), légèrement touchés, restent à l’écart et regardent leurs partenaires plaquer à tour de bras. «On ne veut prendre aucun risque, ajoute Mannix. On sait que la saison sera très longue, qu’on aura au minimum trente-deux matchs à faire, alors, on préfère laisser les joueurs au repos même s’ils n’ont pas grand-chose. »
Les places de titulaires vaudront cher
Indifférent aux supporteurs qui sollicitent Chabal, le talonneur Benjamin Noirot sort de la séance ragaillardi. « Je suis gonflé à bloc, motivé comme jamais, lâche-t-il. J’ai fait des efforts, j’ai perdu 14 kg. La concurrence va être terrible cette saison. J’ai des choses à prouver par rapport à l’année dernière (NDLR : il avait été suspendu un mois puis blessé). Perpignan, pour moi, ce n’est pas un match amical, c’est déjà le début du championnat. » Mirco Bergamasco approuve. Le trois-quarts italien, venu du Stade Français où il a passé sept ans, n’a pas mis longtemps à sentir l’ambition du club. « Pour les joueurs qui viennent d’arriver, comme moi, le match à Perpignan est très important. Nous devons montrer nos qualités et notre capacité à nous intégrer. » Les places de titulaires seront chères cette saison. « Il me tarde de voir Hernandez à l’oeuvre, reprend Noirot. Ce n’est pas El Mago pour rien. Etre dans l’équipe d’un tel joueur, ça marque une carrière. »
OLIVIER FRANÇOIS
Ciel & Blanc ou Bleu & Rouge
Semper Fidelis !!!
Semper Fidelis !!!
Re: Le Racing dans la presse
Au tour de Mirco BERGAMASCO :
Quelle importance revêt le match amical face à Perpignan, vendredi ?
C'est important parce que c'est le dernier match avant de commencer le championnat. On a trois matchs à l'extérieur donc c'est important d'arriver face à Brive avec le plus de confiance possible. Le premier match contre Toulon a servi à comprendre comment le jeu allait se dérouler. C'est important de mettre en place tout ce qu'il faut pour avoir le maximum de confiance face à Brive.
Quels aspects allez-vous devoir améliorer face à Perpignan ?
Il faut perdre moins de ballons. Tous les essais qu'on a pris sont consécutifs à des ballons perdus après cinq ou six phases. Il faut garder le ballon sur plusieurs phases si on ne veut pas prendre de points. Plus on a l'envie, plus c'est facile de gérer le jeu. Une chose à améliorer contre Perpignan sera la possession du ballon. Après, la qualité, on l'a.
Qu'attendez-vous de la saison à venir ?
On a un championnat qui dure très longtemps avec pas mal de défis et de matchs importants. On est qualifié en H Cup et il y a aussi la Coupe du monde à préparer. On a un objectif commun. Tout le monde veut porter le maillot de son équipe nationale. Il faut d'abord montrer qu'on a sa place avec le club et après, tout arrivera en fonction de ce qui se passe sur le terrain.
Comment se passe votre intégration au RACING-METRO ?
C'est mieux. Je suis là depuis trois semaines donc je découvre petit à petit l'organisation, le plan de jeu et les objectifs. Après sept ans au Stade Français, ça fait bizarre de changer. J'ai décidé de venir ici. La chose qui m'a fait prendre la décision c'est que je connais bien le staff, c'est celui que j'avais avec l'Italie (ndlr : Pierre Berbizier a entraîné l'Italie de 2005 à 2007). Je sais comment il travaille. Je connais ses ambitions. Avec le championnat qu'ils ont fait l'année dernière, ça donne envie à beaucoup de joueurs de venir à Paris. J'ai décidé de partir. Le Stade Français m'a laissé donc j'ai signé un contrat de trois ans. Je suis content et tranquille pour trois ans. Je vais essayer de grandir encore un peu plus après le Stade Français.
Donc un contrat de 3 ans. Bon à savoir
Rugby365.com
Quelle importance revêt le match amical face à Perpignan, vendredi ?
C'est important parce que c'est le dernier match avant de commencer le championnat. On a trois matchs à l'extérieur donc c'est important d'arriver face à Brive avec le plus de confiance possible. Le premier match contre Toulon a servi à comprendre comment le jeu allait se dérouler. C'est important de mettre en place tout ce qu'il faut pour avoir le maximum de confiance face à Brive.
Quels aspects allez-vous devoir améliorer face à Perpignan ?
Il faut perdre moins de ballons. Tous les essais qu'on a pris sont consécutifs à des ballons perdus après cinq ou six phases. Il faut garder le ballon sur plusieurs phases si on ne veut pas prendre de points. Plus on a l'envie, plus c'est facile de gérer le jeu. Une chose à améliorer contre Perpignan sera la possession du ballon. Après, la qualité, on l'a.
Qu'attendez-vous de la saison à venir ?
On a un championnat qui dure très longtemps avec pas mal de défis et de matchs importants. On est qualifié en H Cup et il y a aussi la Coupe du monde à préparer. On a un objectif commun. Tout le monde veut porter le maillot de son équipe nationale. Il faut d'abord montrer qu'on a sa place avec le club et après, tout arrivera en fonction de ce qui se passe sur le terrain.
Comment se passe votre intégration au RACING-METRO ?
C'est mieux. Je suis là depuis trois semaines donc je découvre petit à petit l'organisation, le plan de jeu et les objectifs. Après sept ans au Stade Français, ça fait bizarre de changer. J'ai décidé de venir ici. La chose qui m'a fait prendre la décision c'est que je connais bien le staff, c'est celui que j'avais avec l'Italie (ndlr : Pierre Berbizier a entraîné l'Italie de 2005 à 2007). Je sais comment il travaille. Je connais ses ambitions. Avec le championnat qu'ils ont fait l'année dernière, ça donne envie à beaucoup de joueurs de venir à Paris. J'ai décidé de partir. Le Stade Français m'a laissé donc j'ai signé un contrat de trois ans. Je suis content et tranquille pour trois ans. Je vais essayer de grandir encore un peu plus après le Stade Français.
Donc un contrat de 3 ans. Bon à savoir
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Re: Le Racing dans la presse
Présentation : Racing-Metro
Icon Sport
Infos liées :
Durand : Au risque de réussir…
Lorée : "Comme un mort de faim"
Les ambitions du Racing
La calendrier du Racing-Metro
Nouveau volet de notre tour des clubs du Top 14 avant la reprise du championnat le 13 août avec l'équipe du Racing-Metro. Auteurs d'un recrutement de grande qualité, les Racingmen ne peuvent plus se cacher et font désormais partie des favoris dans la course au Brennus.
Nom du club : Racing Métro 92
Naissance : Fondé en 1882
Stade : Stade Yves-du-Manoir (14 000 places)
Président : Jacky Lorenzetti
Entraîneurs : Pierre Berbizier et Simon Mannix
Classement 2010 : 6ème
Titres : 5
Objectif : Le Bouclier de Brennus
Le Racing Métro ne peut plus se cacher. Avec une hausse conséquente de budget et un recrutement monstrueux (Hernandez, Fall, Durand etc), le club de la banlieue parisienne se pose comme un sérieux candidat au titre de champion de France. Les coéquipiers de François Steyn désirent également bien figurer en H Cup. Et pour jouer sur les deux tableaux, Pierre Berbizier a décidé de doubler tous les postes. Le président Lorenzetti masque à peine ses ambitions. "Nous avons l'espoir avec cette équipe d'améliorer notre performance et de jouer les premiers rôles en championnat de France, mais aussi d'honorer notre qualification en H-Cup." Le Racing possède les atouts nécessaires pour bien figurer en Top 14.
La star : Sébastien Chabal
C'était la star de l'équipe l'an dernier et ce sera, à n'en pas douter, la star de cette année. Sébastien Chabal entame sa seconde saison sous les couleurs du Racing. Son objectif principal sera de rééditer ses performances de la précédente année tout en essayant de donner un peu plus lors des rencontres décisives. Il reste le joueur français le plus médiatique et ramène à lui seul toujours autant de monde au stade Yves-du-Manoir. The Caveman a été confirmé en troisième ligne alors qu'il évolue plutôt en seconde ligne sous les couleurs du XV de France. Ses premières rencontres amicales ont confirmé sa bonne tenue du moment.
Le joueur à suivre : Juan Martin Hernandez
"El Mago" est de retour en France. Un an après son transfert chez les Sharks, Hernandez retrouve le Top 14 avec de grosses ambitions. Il devrait évoluer à l'ouverture, son poste de prédilection. Il reste un des seuls joueurs à pouvoir faire gagner son équipe à lui tout seul. Génie ballon en main, Hernandez possède aussi un très bon jeu au pied qui permet de soulager ses avants. Mais une incertitude plane autour de son état physique. L'Argentin se plaint toujours de douleurs dorsales qui le hantent depuis fin 2009. Il pourrait rater le premier match de championnat à Brive.
Le départ qui fait mal : Clément Baïocco
Clément Baïocco était courtisé par de nombreux clubs français. Après avoir donné son accord à Toulon, le pilier droit est finalement parti du côté de Bayonne. C'est un des seuls départs qui fait tache chez les Racingmen. Car Baïocco sort d'une excellente saison avec le club francilien où sa tenue en mêlée en a étonné plus d'un. Il a d'ailleurs connu ses premières convocations avec les Bleus en février 2010. Son transfert était connu depuis janvier mais son absence dans le pack pourrait bien se faire ressentir dès août.
Mouvements :
Arrivées : Hernandez (Sharks), Mi.Bergamasco (Stade Français), Durand (Perpignan), Fall (Bayonne), Brugnaut (Munster), Arganese, Battut, Ghezal, Sa (Montauban), Zimmermann (Brive), VuliVuli (Bourgoin), Vakatawa (Nasinu).
Départs : Smith (Dax), Berry (Wasps), Baïocco (Bayonne), Gaugau (La Rochelle), Diomandé (Nîmes), Mehrtens (libre), Merabet (Toulon), Fortassin (Tarbes), Ward (Auclkand), Taïone (libre), Vakaloa (Massy), Berry (London Wasps), Clarke (Massy).
Rugbyrama
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Durand : Au risque de réussir…
Lorée : "Comme un mort de faim"
Les ambitions du Racing
La calendrier du Racing-Metro
Nouveau volet de notre tour des clubs du Top 14 avant la reprise du championnat le 13 août avec l'équipe du Racing-Metro. Auteurs d'un recrutement de grande qualité, les Racingmen ne peuvent plus se cacher et font désormais partie des favoris dans la course au Brennus.
Nom du club : Racing Métro 92
Naissance : Fondé en 1882
Stade : Stade Yves-du-Manoir (14 000 places)
Président : Jacky Lorenzetti
Entraîneurs : Pierre Berbizier et Simon Mannix
Classement 2010 : 6ème
Titres : 5
Objectif : Le Bouclier de Brennus
Le Racing Métro ne peut plus se cacher. Avec une hausse conséquente de budget et un recrutement monstrueux (Hernandez, Fall, Durand etc), le club de la banlieue parisienne se pose comme un sérieux candidat au titre de champion de France. Les coéquipiers de François Steyn désirent également bien figurer en H Cup. Et pour jouer sur les deux tableaux, Pierre Berbizier a décidé de doubler tous les postes. Le président Lorenzetti masque à peine ses ambitions. "Nous avons l'espoir avec cette équipe d'améliorer notre performance et de jouer les premiers rôles en championnat de France, mais aussi d'honorer notre qualification en H-Cup." Le Racing possède les atouts nécessaires pour bien figurer en Top 14.
La star : Sébastien Chabal
C'était la star de l'équipe l'an dernier et ce sera, à n'en pas douter, la star de cette année. Sébastien Chabal entame sa seconde saison sous les couleurs du Racing. Son objectif principal sera de rééditer ses performances de la précédente année tout en essayant de donner un peu plus lors des rencontres décisives. Il reste le joueur français le plus médiatique et ramène à lui seul toujours autant de monde au stade Yves-du-Manoir. The Caveman a été confirmé en troisième ligne alors qu'il évolue plutôt en seconde ligne sous les couleurs du XV de France. Ses premières rencontres amicales ont confirmé sa bonne tenue du moment.
Le joueur à suivre : Juan Martin Hernandez
"El Mago" est de retour en France. Un an après son transfert chez les Sharks, Hernandez retrouve le Top 14 avec de grosses ambitions. Il devrait évoluer à l'ouverture, son poste de prédilection. Il reste un des seuls joueurs à pouvoir faire gagner son équipe à lui tout seul. Génie ballon en main, Hernandez possède aussi un très bon jeu au pied qui permet de soulager ses avants. Mais une incertitude plane autour de son état physique. L'Argentin se plaint toujours de douleurs dorsales qui le hantent depuis fin 2009. Il pourrait rater le premier match de championnat à Brive.
Le départ qui fait mal : Clément Baïocco
Clément Baïocco était courtisé par de nombreux clubs français. Après avoir donné son accord à Toulon, le pilier droit est finalement parti du côté de Bayonne. C'est un des seuls départs qui fait tache chez les Racingmen. Car Baïocco sort d'une excellente saison avec le club francilien où sa tenue en mêlée en a étonné plus d'un. Il a d'ailleurs connu ses premières convocations avec les Bleus en février 2010. Son transfert était connu depuis janvier mais son absence dans le pack pourrait bien se faire ressentir dès août.
Mouvements :
Arrivées : Hernandez (Sharks), Mi.Bergamasco (Stade Français), Durand (Perpignan), Fall (Bayonne), Brugnaut (Munster), Arganese, Battut, Ghezal, Sa (Montauban), Zimmermann (Brive), VuliVuli (Bourgoin), Vakatawa (Nasinu).
Départs : Smith (Dax), Berry (Wasps), Baïocco (Bayonne), Gaugau (La Rochelle), Diomandé (Nîmes), Mehrtens (libre), Merabet (Toulon), Fortassin (Tarbes), Ward (Auclkand), Taïone (libre), Vakaloa (Massy), Berry (London Wasps), Clarke (Massy).
Rugbyrama
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Re: Le Racing dans la presse
Incroyable les conneries que l'on peut lire :lol: :lol: :lol:
- Templier92
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Racing - Stade Français, acte II
Dans le Parisien d'aujourd'hui
Racing - Stade Français, acte II
Il y a un an, le Racing-Métro déboulait dans le championnat du Top 14, renouait avec son glorieux passé et ne demandait qu’à grandir dans l’ombre de son prestigieux voisin, le Stade Français. Le temps d’une saison seulement,
le soleil a tourné plus vite que prévu et les Ciel et Blanc, 6es du championnat et qualifiés en Coupe d’Europe, ont damé le pion aux Parisiens, 8es au classement final, qui sont soumis à une instabilité chronique. Pour ce nouvel exercice, qui débute ce vendredi, les premiers (18,94 Meuros de budget) viseront d’emblée les sommets tandis que les seconds (19,28 Meuros) tenteront de ne pas se laisser décrocher.
Effectifs : avantage Racing-Métro
Difficile de faire mieux que les Franciliens. Avec les arrivées de Hernandez, Fall,Mirco Bergamasco et Durand qui ont rejoint Wisniewski, Steyn et Chavancy, notamment, le Racing-Métro s’est particulièrement renforcé derrière. Devant, Nallet et Chabal encadrent de solides guerriers, Cronje, Galindo, Leo’o, Le Roux, Dellape, Van der Merwe, Brugnaut et Tuugahala, entre autres, qui impressionnent par leur puissance. Le Stade Français, lui, a dégraissé tout en gardant ses valeurs sûres Szarzewski, Papé, Parisse, Bastareaud. Le retour de suspension de Dupuy et l’arrivée du jeune arrière argentin Gurruchaga, très prometteur, peuvent en faire un sérieux outsider, à condition qu’il soit épargné par les hécatombes de blessés.
Staffs techniques : la continuité face au changement
Pierre Berbizier, présent depuis octobre 2007, fonctionne avec deux adjoints, Simon Mannix, qui était déjà là, pour les trois-quarts, et son frère Philippe, arrivé avec lui, qui s’occupe désormais des avants. Cette stabilité joue sur la sérénité d’un groupe capable d’intégrer très vite les nouveaux venus. Au Stade Français, l’Australo-Libanais Michael Cheika, champion d’Europe avec les Irlandais du Leinster en 2009, débarque avec l’Australien Chris Whitaker, conseiller technique, Didier Faugeron et Benjamin Del Moral, adjoints, déjà présents au club. Objectif : prendre un nouveau — et bon — départ après les bouleversements liés aux limogeages du duo McKenzie-Dominici puis de Delmas la saison dernière.
Stades : la course contre la montre
L’Arena 92, le futur stade du Racing-Métro à deux pas de l’Arche de la Défense, devrait voir le jour en 2014. Son architecte sera désigné à la fin de l’année et le permis de construire déposé au printemps. Colombes (14 000 places) continuera d’abriter les matchs et la Croix-de-Berny à Antony (Hauts-de-Seine) les entraînements, à moins que le club ne s’expatrie pour construire son nouveau centre ailleurs, si les négociations avec la RATP n’aboutissent pas. Le Stade Français, lui, a trouvé repli à Charléty (20 000 places) pendant la démolition, commencée en juillet, et la reconstruction de Jean-Bouin, prévue pour 2013. Les joueurs, moins ballottés que les saisons passées, s’y sentent plutôt bien.
OLIVIER FRANÇOIS
Toujours dans le Parisien
« Les Parisiens seront dans le coup»
JACKY LORENZETTI président du Racing-Métro
Candidat au bouclier de Brennus dès sa deuxième saison en Top 14, ambitieux
en Coupe d’Europe, le Racing poursuit un plan de marche conforme aux objectifs fixés par Jacky Lorenzetti, l’ancien PDG de Foncia, quand il a repris le club en Pro D2 en 2006.
Quel est le mot d’ordre pour le championnat ?
JACKY LORENZETTI. Fairemieux que la saison passée. C’est-à-dire entrer dans le dernier carré, découvrir la Coupe d’Europe et aller le plus loin possible. L’an dernier, on était les chasseurs ; cette fois, on sera les chassés.
Que vous inspire le début de saison avec trois déplacements de suite ?
Ça commence fort avec Brive, puis Montpellier et Toulon. Après, on reçoit Clermont. On pourra vite faire un premier bilan. Mais en dehors du côté sportif, cette saison est importante pour le rugby français. Il y a la renégociation des droits télé. Nous devons tous être solidaires. Nous avons besoin d’une manne supplémentaire.
Avec le recrutement de Hernandez et Fall, vous avez animé le marché des transferts...
Nous sommes impatients de les voir sur le terrain. Hernandez revient très bien (NDLR : l’Argentin, opéré du dos en hiver, a repris les entraînements avec contact), il a un état d’esprit extra. Il rentrera quand tout lemonde sera prêt. Fall est toujours gêné par sa cheville gauche. Pierre Berbizier a l’intention de le faire jouer à l’arrière.
Le Stade Français sera-t-il un rival ?
Quand on regarde l’équipe qui a joué à Toulon (NDLR : défaite 22-25 en amical jeudi dernier), c’est énorme. Les Parisiens seront dans le coup. Il faut compter sur eux. Ils ont peut-être connu une saison difficile, mais ils seront là, j’en suis sûr.
PROPOS RECUEILLIS PAR O.F.
« L’avenir dira s’il y a de la place pour deux»
MAX GUAZZINI président du Stade Français
Après une saison noire (8e du Top 14, non qualifié pour la « grande » Coupe d’Europe), le Stade Français a été contraint de réduire son budget (de 21 Meuros à 19 Meuros). Le club, détenteur de 13 boucliers de Brennus (le dernier en 2007), est désormais entraîné par l’Australien Michael Cheika.
Quelle analyse tirez-vous de la saison passée ?
MAX GUAZZINI. Ça fait dix-huit ans que je suis président du Stade Français, j’ai connu trois mauvaises saisons, dont la dernière. Cela arrive. Tout a été dramatisé. Nous avons diminué notre budget de 2 Meuros en raison de la crise économique, pour rester à l’équilibre. Nous avons laissé partir des joueurs (NDLR : Marconnet, Kayser, Gasnier…). Nous n’avons pas fait un recrutement tapageur, mais nous ne sommes pas les seuls.
Qu’attendez-vous du championnat ?
Accrocher une quatorzième étoile à notre maillot. On a le droit de rêver, non ? On a fait une bonne préparation, mais seul le premier match contre Bourgoin à Charléty dira si le travail est abouti ou non.
Vous avez toujours été réticent pour jouer à Charléty, mais les joueurs semblent s’y trouver bien…
Ce stade n’a pas été conçu en pensant au rugby. Si nous voulons attirer des partenaires, nous avons besoin de loges. Les joueurs doivent aller manger à l’extérieur, ce n’est pas l’idéal, même si c’est mieux qu’à Jean-Bouin où on n’avait rien. Mais ce n’est pas le confort qui fait que l’on gagne ou pas.
Que pensez-vous du Racing-Métro ?
Chacun sa route. Je ne porte pas de jugement. Je ne m’occupe pas des autres. L’avenir dira s’il y a de la place pour deux à Paris. Nous, on essaie d’être un club populaire.
PROPOS RECUEILLIS PAR O.F .
Racing - Stade Français, acte II
Il y a un an, le Racing-Métro déboulait dans le championnat du Top 14, renouait avec son glorieux passé et ne demandait qu’à grandir dans l’ombre de son prestigieux voisin, le Stade Français. Le temps d’une saison seulement,
le soleil a tourné plus vite que prévu et les Ciel et Blanc, 6es du championnat et qualifiés en Coupe d’Europe, ont damé le pion aux Parisiens, 8es au classement final, qui sont soumis à une instabilité chronique. Pour ce nouvel exercice, qui débute ce vendredi, les premiers (18,94 Meuros de budget) viseront d’emblée les sommets tandis que les seconds (19,28 Meuros) tenteront de ne pas se laisser décrocher.
Effectifs : avantage Racing-Métro
Difficile de faire mieux que les Franciliens. Avec les arrivées de Hernandez, Fall,Mirco Bergamasco et Durand qui ont rejoint Wisniewski, Steyn et Chavancy, notamment, le Racing-Métro s’est particulièrement renforcé derrière. Devant, Nallet et Chabal encadrent de solides guerriers, Cronje, Galindo, Leo’o, Le Roux, Dellape, Van der Merwe, Brugnaut et Tuugahala, entre autres, qui impressionnent par leur puissance. Le Stade Français, lui, a dégraissé tout en gardant ses valeurs sûres Szarzewski, Papé, Parisse, Bastareaud. Le retour de suspension de Dupuy et l’arrivée du jeune arrière argentin Gurruchaga, très prometteur, peuvent en faire un sérieux outsider, à condition qu’il soit épargné par les hécatombes de blessés.
Staffs techniques : la continuité face au changement
Pierre Berbizier, présent depuis octobre 2007, fonctionne avec deux adjoints, Simon Mannix, qui était déjà là, pour les trois-quarts, et son frère Philippe, arrivé avec lui, qui s’occupe désormais des avants. Cette stabilité joue sur la sérénité d’un groupe capable d’intégrer très vite les nouveaux venus. Au Stade Français, l’Australo-Libanais Michael Cheika, champion d’Europe avec les Irlandais du Leinster en 2009, débarque avec l’Australien Chris Whitaker, conseiller technique, Didier Faugeron et Benjamin Del Moral, adjoints, déjà présents au club. Objectif : prendre un nouveau — et bon — départ après les bouleversements liés aux limogeages du duo McKenzie-Dominici puis de Delmas la saison dernière.
Stades : la course contre la montre
L’Arena 92, le futur stade du Racing-Métro à deux pas de l’Arche de la Défense, devrait voir le jour en 2014. Son architecte sera désigné à la fin de l’année et le permis de construire déposé au printemps. Colombes (14 000 places) continuera d’abriter les matchs et la Croix-de-Berny à Antony (Hauts-de-Seine) les entraînements, à moins que le club ne s’expatrie pour construire son nouveau centre ailleurs, si les négociations avec la RATP n’aboutissent pas. Le Stade Français, lui, a trouvé repli à Charléty (20 000 places) pendant la démolition, commencée en juillet, et la reconstruction de Jean-Bouin, prévue pour 2013. Les joueurs, moins ballottés que les saisons passées, s’y sentent plutôt bien.
OLIVIER FRANÇOIS
Toujours dans le Parisien
« Les Parisiens seront dans le coup»
JACKY LORENZETTI président du Racing-Métro
Candidat au bouclier de Brennus dès sa deuxième saison en Top 14, ambitieux
en Coupe d’Europe, le Racing poursuit un plan de marche conforme aux objectifs fixés par Jacky Lorenzetti, l’ancien PDG de Foncia, quand il a repris le club en Pro D2 en 2006.
Quel est le mot d’ordre pour le championnat ?
JACKY LORENZETTI. Fairemieux que la saison passée. C’est-à-dire entrer dans le dernier carré, découvrir la Coupe d’Europe et aller le plus loin possible. L’an dernier, on était les chasseurs ; cette fois, on sera les chassés.
Que vous inspire le début de saison avec trois déplacements de suite ?
Ça commence fort avec Brive, puis Montpellier et Toulon. Après, on reçoit Clermont. On pourra vite faire un premier bilan. Mais en dehors du côté sportif, cette saison est importante pour le rugby français. Il y a la renégociation des droits télé. Nous devons tous être solidaires. Nous avons besoin d’une manne supplémentaire.
Avec le recrutement de Hernandez et Fall, vous avez animé le marché des transferts...
Nous sommes impatients de les voir sur le terrain. Hernandez revient très bien (NDLR : l’Argentin, opéré du dos en hiver, a repris les entraînements avec contact), il a un état d’esprit extra. Il rentrera quand tout lemonde sera prêt. Fall est toujours gêné par sa cheville gauche. Pierre Berbizier a l’intention de le faire jouer à l’arrière.
Le Stade Français sera-t-il un rival ?
Quand on regarde l’équipe qui a joué à Toulon (NDLR : défaite 22-25 en amical jeudi dernier), c’est énorme. Les Parisiens seront dans le coup. Il faut compter sur eux. Ils ont peut-être connu une saison difficile, mais ils seront là, j’en suis sûr.
PROPOS RECUEILLIS PAR O.F.
« L’avenir dira s’il y a de la place pour deux»
MAX GUAZZINI président du Stade Français
Après une saison noire (8e du Top 14, non qualifié pour la « grande » Coupe d’Europe), le Stade Français a été contraint de réduire son budget (de 21 Meuros à 19 Meuros). Le club, détenteur de 13 boucliers de Brennus (le dernier en 2007), est désormais entraîné par l’Australien Michael Cheika.
Quelle analyse tirez-vous de la saison passée ?
MAX GUAZZINI. Ça fait dix-huit ans que je suis président du Stade Français, j’ai connu trois mauvaises saisons, dont la dernière. Cela arrive. Tout a été dramatisé. Nous avons diminué notre budget de 2 Meuros en raison de la crise économique, pour rester à l’équilibre. Nous avons laissé partir des joueurs (NDLR : Marconnet, Kayser, Gasnier…). Nous n’avons pas fait un recrutement tapageur, mais nous ne sommes pas les seuls.
Qu’attendez-vous du championnat ?
Accrocher une quatorzième étoile à notre maillot. On a le droit de rêver, non ? On a fait une bonne préparation, mais seul le premier match contre Bourgoin à Charléty dira si le travail est abouti ou non.
Vous avez toujours été réticent pour jouer à Charléty, mais les joueurs semblent s’y trouver bien…
Ce stade n’a pas été conçu en pensant au rugby. Si nous voulons attirer des partenaires, nous avons besoin de loges. Les joueurs doivent aller manger à l’extérieur, ce n’est pas l’idéal, même si c’est mieux qu’à Jean-Bouin où on n’avait rien. Mais ce n’est pas le confort qui fait que l’on gagne ou pas.
Que pensez-vous du Racing-Métro ?
Chacun sa route. Je ne porte pas de jugement. Je ne m’occupe pas des autres. L’avenir dira s’il y a de la place pour deux à Paris. Nous, on essaie d’être un club populaire.
PROPOS RECUEILLIS PAR O.F .
Dernière modification par Templier92 le 10 août 2010, 22:01, modifié 1 fois.
Ciel & Blanc ou Bleu & Rouge
Semper Fidelis !!!
Semper Fidelis !!!