"crise au Racing"
"crise au Racing"
Visiblement les dernières 24h du club ont été plus qu'agitées. Nous nous sommes plaints beaucoup trop de fois de la passivité de l'institution après les défaites et les déboires. Le grand ménage est visiblement en train de se faire.
En recoupant les informations qui filtre par les presse ou RS, une réunion de crise s'est déroulée hier. Lancaster serait sur le départ, qui pour le remplacer ? Dimitri s'est visiblement positionné mais ne ferait pas l'unanimité. Nous étions en eaux troubles et allons poursuivre mais cette fois pour reconstruire. Ça bouge et ça fait plaisir de voir que des gens n'ont pas envie de laisser le club crever.
Je ne parle pas de travers qui a mené le bateau au naufrage en plaçant sa personne au premier plan et piétinant les intérêts du club ..
En recoupant les informations qui filtre par les presse ou RS, une réunion de crise s'est déroulée hier. Lancaster serait sur le départ, qui pour le remplacer ? Dimitri s'est visiblement positionné mais ne ferait pas l'unanimité. Nous étions en eaux troubles et allons poursuivre mais cette fois pour reconstruire. Ça bouge et ça fait plaisir de voir que des gens n'ont pas envie de laisser le club crever.
Je ne parle pas de travers qui a mené le bateau au naufrage en plaçant sa personne au premier plan et piétinant les intérêts du club ..
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Re: "crise au Racing"
Bonjour à tous,Antonin a écrit : ↑20 déc. 2024, 09:43Visiblement les dernières 24h du club ont été plus qu'agitées. Nous nous sommes plaints beaucoup trop de fois de la passivité de l'institution après les défaites et les déboires. Le grand ménage est visiblement en train de se faire.
En recoupant les informations qui filtre par les presse ou RS, une réunion de crise s'est déroulée hier. Lancaster serait sur le départ, qui pour le remplacer ? Dimitri s'est visiblement positionné mais ne ferait pas l'unanimité. Nous étions en eaux troubles et allons poursuivre mais cette fois pour reconstruire. Ça bouge et ça fait plaisir de voir que des gens n'ont pas envie de laisser le club crever.
Je ne parle pas de travers qui a mené le bateau au naufrage en plaçant sa personne au premier plan et piétinant les intérêts du club ..
Réunion de crise ou repas de Noël ?
Rugby pass dit que Lancaster irait au bout de son contrat.
J'espère que l'on en saura plus bientôt...
Re: "crise au Racing"
Effectivement je viens de lire aujourd'hui l'info du repas de Noël.. bref toujours compliqué d'avoir les infos au racingcakro92000 a écrit : ↑20 déc. 2024, 10:27Bonjour à tous,Antonin a écrit : ↑20 déc. 2024, 09:43Visiblement les dernières 24h du club ont été plus qu'agitées. Nous nous sommes plaints beaucoup trop de fois de la passivité de l'institution après les défaites et les déboires. Le grand ménage est visiblement en train de se faire.
En recoupant les informations qui filtre par les presse ou RS, une réunion de crise s'est déroulée hier. Lancaster serait sur le départ, qui pour le remplacer ? Dimitri s'est visiblement positionné mais ne ferait pas l'unanimité. Nous étions en eaux troubles et allons poursuivre mais cette fois pour reconstruire. Ça bouge et ça fait plaisir de voir que des gens n'ont pas envie de laisser le club crever.
Je ne parle pas de travers qui a mené le bateau au naufrage en plaçant sa personne au premier plan et piétinant les intérêts du club ..
Réunion de crise ou repas de Noël ?
Rugby pass dit que Lancaster irait au bout de son contrat.
J'espère que l'on en saura plus bientôt...
Re: "crise au Racing"
https://www.blog-rct.com/seisme-au-raci ... e-janvier/
Apparemment, ça se précise et c’est plutôt une bonne nouvelle. Après, le départ de Lancaster ne fera sûrement pas tout, il faudrait revoir aussi la politique des recrutements...
Apparemment, ça se précise et c’est plutôt une bonne nouvelle. Après, le départ de Lancaster ne fera sûrement pas tout, il faudrait revoir aussi la politique des recrutements...
Re: "crise au Racing"
L'avantage du départ de Lancaster est qu'il va amener tous les anglais avec lui (son fils, Farrell, Arundell).barenzai a écrit : ↑24 déc. 2024, 13:37https://www.blog-rct.com/seisme-au-raci ... e-janvier/
Apparemment, ça se précise et c’est plutôt une bonne nouvelle. Après, le départ de Lancaster ne fera sûrement pas tout, il faudrait revoir aussi la politique des recrutements...
En espérant que Rowlands ne parte pas aussi.
Pour le reste, j'espère un entraîneur qui construise un vrai staff et un projet de jeu.
Lorenzetti a pour habitude de laisser longtemps les staffs, il faut en profiter pour tout reprendre et faire jouer des jeunes
Re: "crise au Racing"
Tout le monde voulait du changement…. et ben voilà !
En espérant qu’il n’y aura aucun regret !!!!
En espérant qu’il n’y aura aucun regret !!!!
Re: "crise au Racing"
Lancaster sur le départ, Collazo pour le remplacer ?
Il n'y a rien concret annoncé, seulement des bruits de couloir
https://www.rugbyrama.fr/2025/01/30/tra ... 480733.php
Je ne sais pas trop juger le niveau de Collazo, mais il aura au moins le mérite d'apporter de l'âme à ce club qui en a bien besoin.
Il n'y a rien concret annoncé, seulement des bruits de couloir
https://www.rugbyrama.fr/2025/01/30/tra ... 480733.php
Je ne sais pas trop juger le niveau de Collazo, mais il aura au moins le mérite d'apporter de l'âme à ce club qui en a bien besoin.
Re: "crise au Racing"
Rugbypass annonce a son tour le départ de Lancaster
Re: "crise au Racing"
Il fallait faire quelque chose !
Maintenant faut voir…. Quoi qu’il arrive la victoire contre Vannes reste primordiale…
Au moins ça parlera Français dans le vestiaire et peut-être que les consignes seront mieux assimilées !?
Maintenant faut voir…. Quoi qu’il arrive la victoire contre Vannes reste primordiale…
Au moins ça parlera Français dans le vestiaire et peut-être que les consignes seront mieux assimilées !?
Re: "crise au Racing"
Article du midol sur les coulisses :
Au Plessis-Robinson, trois jours de réunions ont suivi la dernière défaite face à Castres (20-27), survenue le 25 janvier dernier. On vous explique ici comment le nom de Patrice Collazo est alors sorti du chapeau…
Pour le Racing 92, c’est la dernière défaite face au Castres olympique (20-27) qui a donc enterré le projet du manager anglais Stuart Lancaster, arrivé dans les Hauts-de-Seine un an et demi plus tôt. Cet après-midi-là, les coéquipiers d’Ibrahim Diallo furent certes battus par le CO mais surtout, ils ne virent jamais vraiment le jour à Nanterre. Est-ce à cet instant que Jacky Lorenzetti s’est dit que cela ne pouvait plus durer ? Est-ce là, tout juste une semaine après avoir appris que "son" Racing ne participerait pas à la phase finale de Champions Cup et au beau milieu de cette salle de spectacle qu’il avait construite il y a maintenant sept ans, que "JLO" a songé que le club avait besoin d’un électrochoc pour éviter de terminer la saison en cours en Pro D2 ? C’est probable et, après une nuit consacrée à la digestion de cette énième défaite en Top 14, le président du Racing 92 s’est alors mis en ordre de bataille, enchaînant avec son premier cercle (Arnaud Tourtoulou, le futur président du directoire, Olivier Froc, le PDG de la société Ovalto, Christophe Mombet, le patron de la formation francilienne et Jean-François Lamour, son premier conseiller) une série de réunions.
A lire aussi : Transferts. Top 14 - Stuart Lancaster quitte le Racing 92, Patrice Collazo pressenti
De façon logique, Laurent Travers, qui quittera le club des Hauts-de-Seine mi-février avant d’embrasser l’été prochain sa nouvelle mission sur la Cote basque, fut tenu à l’écart de tractations ne le concernant, dans les faits, plus vraiment. De son côté, Stuart Lancaster était en vacances au Cap, dans l’hémisphère Sud : en coulisses, il se murmure à son sujet qu’au-delà de résultats décevants, on lui reprocherait aujourd’hui de n’avoir jamais appris le Français et de s’être cantonné à un rôle purement sportif, quand la fonction de manager appelle en réalité bien d’autres missions, dont les rapports quasi quotidiens avec les partenaires du club, les relations avec le XV de France ou celles avec la Ligue Nationale de Rugby. Autant de missions que Laurent Travers avait jusqu’ici été contraint de poursuivre…
Collazo, un profil qui colle à la mission
Dans la foulée des conciliabules ayant agité le quotidien d’habitude si feutré du Plessis-Robinson en début de semaine, tout s’est alors accéléré et la solution Patrice Collazo s’est quasiment imposée d’elle-même : le technicien, qui connaît bien le club pour y avoir passé plusieurs mois à l’époque où il entraînait les Espoirs franciliens (2010-2011), a évidemment connu son lot de réussites avec le Stade rochelais, dont il fut avec Vincent Merling le principal architecte, et possède donc un profil de bâtisseur qui plaît à Lorenzetti. Il ne faut pas oublier, non plus, que Patrice Collazo est un familier de ce genre de mission commando pour en avoir rempli brillamment une dans l’Hérault, à l’époque pas si lointaine (2023-2024) où le club de Mohed Altrad flirtait dangereusement avec la relégation. C’est donc un contrat de cinq mois qui attend d’abord l’ancien pilier de Toulon et Gloucester, à la tête du projet sportif du Racing 92, actuel douzième du championnat. Ira-t-il plus loin ou pas ? À ce jour, tout est ouvert. S’il réussit, il continuera peut-être. Si le deal fait juste état d’une mission fixe de cinq mois, plusieurs noms ont déjà circulé pour l’avenir : Karim Ghezal, considéré comme un des meilleurs techniciens français et libre de tout engagement en juin, a un profil qui plaît aux dirigeants du Racing 92, un club où il a évolué quatre saisons ; il se raconte aussi que si Laurent Labit, passé au club de 2013 à 2019 et dont les qualités ne sont plus à prouver, quittait le Stade français (on en est évidemment loin), il pourrait bien trouver dans les Hauts-de-Seine un point de chute plus qu’intéressant.
Pour se séparer de Stuart Lancaster, le Racing 92 a évidemment dû régler à l’ancien sélectionneur de la Rose les deux ans et demi de contrat qu’il lui restait à honorer. Une somme rondelette, estimée à plusieurs centaines de milliers d’euros. C’est d’ailleurs la première fois, depuis qu’il a racheté le club en 2006, que Jacky Lorenzetti se sépare de l’un de ses coachs. Jusqu’ici, il n’en avait connu que cinq : Pierre Berbizier (2007-2012), Gonzalo Quesada dans un rôle de transition n’ayant duré que quelques mois, le duo Travers-Labit (2013-2023) et donc, Stuart Lancaster. Avant son départ, le technicien anglais avait d’ailleurs demandé à ses dirigeants de se positionner sur le prometteur arrière briviste Mathis Ferté, sous contrat en Corrèze. Selon nos informations, ils l’ont fait et, sur ce dossier, la lutte s’annonce âpre avec Toulon…
Au Plessis-Robinson, trois jours de réunions ont suivi la dernière défaite face à Castres (20-27), survenue le 25 janvier dernier. On vous explique ici comment le nom de Patrice Collazo est alors sorti du chapeau…
Pour le Racing 92, c’est la dernière défaite face au Castres olympique (20-27) qui a donc enterré le projet du manager anglais Stuart Lancaster, arrivé dans les Hauts-de-Seine un an et demi plus tôt. Cet après-midi-là, les coéquipiers d’Ibrahim Diallo furent certes battus par le CO mais surtout, ils ne virent jamais vraiment le jour à Nanterre. Est-ce à cet instant que Jacky Lorenzetti s’est dit que cela ne pouvait plus durer ? Est-ce là, tout juste une semaine après avoir appris que "son" Racing ne participerait pas à la phase finale de Champions Cup et au beau milieu de cette salle de spectacle qu’il avait construite il y a maintenant sept ans, que "JLO" a songé que le club avait besoin d’un électrochoc pour éviter de terminer la saison en cours en Pro D2 ? C’est probable et, après une nuit consacrée à la digestion de cette énième défaite en Top 14, le président du Racing 92 s’est alors mis en ordre de bataille, enchaînant avec son premier cercle (Arnaud Tourtoulou, le futur président du directoire, Olivier Froc, le PDG de la société Ovalto, Christophe Mombet, le patron de la formation francilienne et Jean-François Lamour, son premier conseiller) une série de réunions.
A lire aussi : Transferts. Top 14 - Stuart Lancaster quitte le Racing 92, Patrice Collazo pressenti
De façon logique, Laurent Travers, qui quittera le club des Hauts-de-Seine mi-février avant d’embrasser l’été prochain sa nouvelle mission sur la Cote basque, fut tenu à l’écart de tractations ne le concernant, dans les faits, plus vraiment. De son côté, Stuart Lancaster était en vacances au Cap, dans l’hémisphère Sud : en coulisses, il se murmure à son sujet qu’au-delà de résultats décevants, on lui reprocherait aujourd’hui de n’avoir jamais appris le Français et de s’être cantonné à un rôle purement sportif, quand la fonction de manager appelle en réalité bien d’autres missions, dont les rapports quasi quotidiens avec les partenaires du club, les relations avec le XV de France ou celles avec la Ligue Nationale de Rugby. Autant de missions que Laurent Travers avait jusqu’ici été contraint de poursuivre…
Collazo, un profil qui colle à la mission
Dans la foulée des conciliabules ayant agité le quotidien d’habitude si feutré du Plessis-Robinson en début de semaine, tout s’est alors accéléré et la solution Patrice Collazo s’est quasiment imposée d’elle-même : le technicien, qui connaît bien le club pour y avoir passé plusieurs mois à l’époque où il entraînait les Espoirs franciliens (2010-2011), a évidemment connu son lot de réussites avec le Stade rochelais, dont il fut avec Vincent Merling le principal architecte, et possède donc un profil de bâtisseur qui plaît à Lorenzetti. Il ne faut pas oublier, non plus, que Patrice Collazo est un familier de ce genre de mission commando pour en avoir rempli brillamment une dans l’Hérault, à l’époque pas si lointaine (2023-2024) où le club de Mohed Altrad flirtait dangereusement avec la relégation. C’est donc un contrat de cinq mois qui attend d’abord l’ancien pilier de Toulon et Gloucester, à la tête du projet sportif du Racing 92, actuel douzième du championnat. Ira-t-il plus loin ou pas ? À ce jour, tout est ouvert. S’il réussit, il continuera peut-être. Si le deal fait juste état d’une mission fixe de cinq mois, plusieurs noms ont déjà circulé pour l’avenir : Karim Ghezal, considéré comme un des meilleurs techniciens français et libre de tout engagement en juin, a un profil qui plaît aux dirigeants du Racing 92, un club où il a évolué quatre saisons ; il se raconte aussi que si Laurent Labit, passé au club de 2013 à 2019 et dont les qualités ne sont plus à prouver, quittait le Stade français (on en est évidemment loin), il pourrait bien trouver dans les Hauts-de-Seine un point de chute plus qu’intéressant.
Pour se séparer de Stuart Lancaster, le Racing 92 a évidemment dû régler à l’ancien sélectionneur de la Rose les deux ans et demi de contrat qu’il lui restait à honorer. Une somme rondelette, estimée à plusieurs centaines de milliers d’euros. C’est d’ailleurs la première fois, depuis qu’il a racheté le club en 2006, que Jacky Lorenzetti se sépare de l’un de ses coachs. Jusqu’ici, il n’en avait connu que cinq : Pierre Berbizier (2007-2012), Gonzalo Quesada dans un rôle de transition n’ayant duré que quelques mois, le duo Travers-Labit (2013-2023) et donc, Stuart Lancaster. Avant son départ, le technicien anglais avait d’ailleurs demandé à ses dirigeants de se positionner sur le prometteur arrière briviste Mathis Ferté, sous contrat en Corrèze. Selon nos informations, ils l’ont fait et, sur ce dossier, la lutte s’annonce âpre avec Toulon…