Re: Juan Martin Hernandez
Publié : 19 avr. 2011, 18:58
Hernandez: 'Je suis là pour aider l'équipe'
Publié le 19/04/2011
Son opération du genou droit réussie, Juan Martin Hernandez a entamé sa rééducation du genou avec succès. Détendu et souriant, l'Argentin a pris le temps de répondre à quelques questions.
Juan, d'abord comment vas-tu?
Juan Martin Hernandez: Bien, très bien. J'irais mieux si je jouais. Mais c'est comme ça. Je prends ce que la vie m'a donné. Il y a quelques années, elle m'a donné énormément sur le plan du rugby, aujourd'hui moins. Mais il faut rebondir.
Est-ce que tu as suivi le parcours du Racing depuis ta blessure?
J.M.H.: Oui, bien sûr. J'ai notamment vu le match de Toulouse. Une très belle performance, très solide avec une domination dans tous les secteurs. Bon, les deux derniers résultats n'ont pas été favorables mais j'ai confiance en l'équipe pour bien faire lors des deux derniers matchs et garder cette place de deuxième.
Comment vis-tu ta relation par rapport au groupe, alors que tu es blessé?
J.M.H.: Je suis là pour aider l'équipe, pour pouvoir donner un coup de main. Aider à faire la vidéo, aider les trois-quarts... Si les joueurs ont besoin de moi, si le staff a besoin de moi, je suis disponible. Par rapport au début de saison, où j'étais également blessé, c'est différent. Je ne suis plus nouveau ici. J'ai beaucoup de confiance envers mes coéquipiers, ce sont des amis. On joue aux cartes, on mange ensemble... Il y a une vie quotidienne vraiment importante ici au Racing. C'est pour ça que je suis là. Pour m'investir et aider l'équipe.
Quand tu penses Coupe du Monde, tu te dis quoi?
J.M.H.: Je pense que je suis dans un marathon. Tu sais, même si tu es en forme, tu n'es pas sûr de le finir! Pour moi c'est un chemin très long, très difficile.
Tu y penses tous les jours ou tu penses d'abord à te soigner?
J.M.H.: Non, je pense d'abord à me soigner. Comme s'il n'y avait la Coupe du Monde. Me soigner donc, pour être prêt le plus tôt possible, le mieux possible. Mais surtout, être solide. Après, si j'arrive à jouer la Coupe du Monde, ce sera du bonus. Mais le plus important, c'est de bien rééduquer le genou, de continuer à travailler tout mon corps parce que je sors de trois années compliquées. Il faut que je m'occupe de tout mon corps pour revenir.
Publié le 19/04/2011
Son opération du genou droit réussie, Juan Martin Hernandez a entamé sa rééducation du genou avec succès. Détendu et souriant, l'Argentin a pris le temps de répondre à quelques questions.
Juan, d'abord comment vas-tu?
Juan Martin Hernandez: Bien, très bien. J'irais mieux si je jouais. Mais c'est comme ça. Je prends ce que la vie m'a donné. Il y a quelques années, elle m'a donné énormément sur le plan du rugby, aujourd'hui moins. Mais il faut rebondir.
Est-ce que tu as suivi le parcours du Racing depuis ta blessure?
J.M.H.: Oui, bien sûr. J'ai notamment vu le match de Toulouse. Une très belle performance, très solide avec une domination dans tous les secteurs. Bon, les deux derniers résultats n'ont pas été favorables mais j'ai confiance en l'équipe pour bien faire lors des deux derniers matchs et garder cette place de deuxième.
Comment vis-tu ta relation par rapport au groupe, alors que tu es blessé?
J.M.H.: Je suis là pour aider l'équipe, pour pouvoir donner un coup de main. Aider à faire la vidéo, aider les trois-quarts... Si les joueurs ont besoin de moi, si le staff a besoin de moi, je suis disponible. Par rapport au début de saison, où j'étais également blessé, c'est différent. Je ne suis plus nouveau ici. J'ai beaucoup de confiance envers mes coéquipiers, ce sont des amis. On joue aux cartes, on mange ensemble... Il y a une vie quotidienne vraiment importante ici au Racing. C'est pour ça que je suis là. Pour m'investir et aider l'équipe.
Quand tu penses Coupe du Monde, tu te dis quoi?
J.M.H.: Je pense que je suis dans un marathon. Tu sais, même si tu es en forme, tu n'es pas sûr de le finir! Pour moi c'est un chemin très long, très difficile.
Tu y penses tous les jours ou tu penses d'abord à te soigner?
J.M.H.: Non, je pense d'abord à me soigner. Comme s'il n'y avait la Coupe du Monde. Me soigner donc, pour être prêt le plus tôt possible, le mieux possible. Mais surtout, être solide. Après, si j'arrive à jouer la Coupe du Monde, ce sera du bonus. Mais le plus important, c'est de bien rééduquer le genou, de continuer à travailler tout mon corps parce que je sors de trois années compliquées. Il faut que je m'occupe de tout mon corps pour revenir.