euh personnellement, je vais me faire des ennemis, mais ça me dérangerais pas du tout qu'il quitte le Racing...
je l'ai dit depuis qu'il a signé que c'était un mauvais plan, certes il est jeune et talentueux, mais il passe sa vie à l'infirmerie... ça ne vaut pas le coup,
je l'ai dit depuis le début que c'était un éternel blessé, c'est un fait. :?
je signe des 2 mains tout de suite si Planté et (l'autre abruti de) Andreu signent pour remplacer, Bobo, Saubade et Fall.
Benjamin FALL
Re: Benjamin FALL
T'es mechant avec lui je trouve regarde cette année il n'a quasiment pas été blessé :mrgreen:chomelaregle a écrit :euh personnellement, je vais me faire des ennemis, mais ça me dérangerais pas du tout qu'il quitte le Racing...
je l'ai dit depuis qu'il a signé que c'était un mauvais plan, certes il est jeune et talentueux, mais il passe sa vie à l'infirmerie... ça ne vaut pas le coup,
je l'ai dit depuis le début que c'était un éternel blessé, c'est un fait. :?
je signe des 2 mains tout de suite si Planté et (l'autre abruti de) Andreu signent pour remplacer, Bobo, Saubade et Fall.
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chomelaregle
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Re: Benjamin FALL
Fall : «J'ai envie d'exister»
Invité de L'Equipe 21, l'arrière-ailier international du Racing-Métro, Benjamin Fall, évoque le XV de France, sa non-sélection, son transfert à Montpellier la saison prochaine et le déplacement du RM92 à Bordeaux, samedi (18h30).
Benjamin Fall, qu’est-ce que ça fait, en pleine période de Tournoi, de regarder l’équipe de France après en avoir fait partie mais sans être appelé ?
Ca fait bizarre (Il a disputé trois matches dans le Tournoi 2013). Faire partie de l’équipe de France, c’est oxygénant, et ça booste quand on revient en club. Quand on n’est pas appelé, on se rend compte qu’elle n’appartient à personne, et quand on y revient, on savoure mieux chaque moment.
Vous avez connu la période Lièvremont (première sélection en 2009) et maintenant l’ère Saint-André ? Quels sont les points communs et les différences ?
La vie du groupe, c’est la même. Il y a des choses qui se transmettent de génération en génération, comme l’ambiance, le bien-vivre ensemble. Quant au projet de jeu, Marc (Lièvremont) privilégiait la prise d’initiative, Philippe (Saint-André) ne bride personne, mais il insiste davantage sur les schémas de jeu.
Ca vous paraît difficile de revenir en équipe de France ?
Il va falloir que je hausse d’un cran le niveau de mes performances en club. Au Racing-Métro, je marque moins d’essais, mes performances sont en dent de scie. Pour être sélectionné, il faut être régulier en club.
Vous avez fait le choix du Racing-Métro. Est-ce que ce transfert est aujourd’hui à la hauteur de vos espérances ?
C’était un choix par défaut. Fin 2010, Bayonne était relégable en ProD2 (Montauban est descendu à la place de l’Aviron pour déficit financier). Je voulais signer dans un grand club et poursuivre ma progression. Si Bayonne avait assuré son maintien plus tôt, je n’aurais pas signé ailleurs. D’autres clubs que le Racing-Métro étaient intéressés mais il fallait racheter mon contrat (500 000 euros). Seul le Racing pouvait payer. J’appréciais le projet de jeu de Pierre Berbizier, inscrit sur la durée. Ce que je n’avais pas anticipé, c'est le temps d'adaptation.
Rejoindre Montpellier, la saison prochaine, s’inscrit dans la même logique, à savoir intégrer un club ambitieux, avec un projet de jeu à long terme ?
Ce qui m’importe, c’est de jouer à cent pour cent de mes capacités et pas à cinquante pour cent. Au Racing, j’emmagasine de la frustration. Mes performances ne sont pas satisfaisantes. J’ai besoin d’un nouveau challenge personnel. J’ai envie d’exister en tant que joueur.
Avant cela, il faut terminer la saison avec le Racing-Métro…
Il reste sept matches. La saison est passée très vite. Le management est bon, l’ambiance aussi, on s’entraîne bien mais on ne le retranscrit pas en match.
Vous avez une explication ?
L’effectif a été renouvelé, on n’a pas assez de repères, il y a de nouveaux schémas à assimiler. Surtout, on se met une pression supplémentaire. Tout le monde parle de nos très grands joueurs, mais nous n’arrivons pas à produire grand chose. Alors, sans se l’avouer, on doute.
Que vous inspire le déplacement à Bordeaux, samedi ?
L’UBB est une équipe très joueuse. Sur ses performances, elle devrait être placée plus haut dans le classement (Bordeaux est neuvième). Ce sera un match difficile, nous en sommes conscients. Mais nous devons gagner à l’extérieur, car l’écart entre le deuxième et le neuvième (huit points) est mince.
Comment aborder tactiquement ce match ?
D’abord être encore plus rigoureux que nous le sommes actuellement sur les phases de conquête.»
Propos recueillis par Richard ESCOT
Invité de L'Equipe 21, l'arrière-ailier international du Racing-Métro, Benjamin Fall, évoque le XV de France, sa non-sélection, son transfert à Montpellier la saison prochaine et le déplacement du RM92 à Bordeaux, samedi (18h30).
Benjamin Fall, qu’est-ce que ça fait, en pleine période de Tournoi, de regarder l’équipe de France après en avoir fait partie mais sans être appelé ?
Ca fait bizarre (Il a disputé trois matches dans le Tournoi 2013). Faire partie de l’équipe de France, c’est oxygénant, et ça booste quand on revient en club. Quand on n’est pas appelé, on se rend compte qu’elle n’appartient à personne, et quand on y revient, on savoure mieux chaque moment.
Vous avez connu la période Lièvremont (première sélection en 2009) et maintenant l’ère Saint-André ? Quels sont les points communs et les différences ?
La vie du groupe, c’est la même. Il y a des choses qui se transmettent de génération en génération, comme l’ambiance, le bien-vivre ensemble. Quant au projet de jeu, Marc (Lièvremont) privilégiait la prise d’initiative, Philippe (Saint-André) ne bride personne, mais il insiste davantage sur les schémas de jeu.
Ca vous paraît difficile de revenir en équipe de France ?
Il va falloir que je hausse d’un cran le niveau de mes performances en club. Au Racing-Métro, je marque moins d’essais, mes performances sont en dent de scie. Pour être sélectionné, il faut être régulier en club.
Vous avez fait le choix du Racing-Métro. Est-ce que ce transfert est aujourd’hui à la hauteur de vos espérances ?
C’était un choix par défaut. Fin 2010, Bayonne était relégable en ProD2 (Montauban est descendu à la place de l’Aviron pour déficit financier). Je voulais signer dans un grand club et poursuivre ma progression. Si Bayonne avait assuré son maintien plus tôt, je n’aurais pas signé ailleurs. D’autres clubs que le Racing-Métro étaient intéressés mais il fallait racheter mon contrat (500 000 euros). Seul le Racing pouvait payer. J’appréciais le projet de jeu de Pierre Berbizier, inscrit sur la durée. Ce que je n’avais pas anticipé, c'est le temps d'adaptation.
Rejoindre Montpellier, la saison prochaine, s’inscrit dans la même logique, à savoir intégrer un club ambitieux, avec un projet de jeu à long terme ?
Ce qui m’importe, c’est de jouer à cent pour cent de mes capacités et pas à cinquante pour cent. Au Racing, j’emmagasine de la frustration. Mes performances ne sont pas satisfaisantes. J’ai besoin d’un nouveau challenge personnel. J’ai envie d’exister en tant que joueur.
Avant cela, il faut terminer la saison avec le Racing-Métro…
Il reste sept matches. La saison est passée très vite. Le management est bon, l’ambiance aussi, on s’entraîne bien mais on ne le retranscrit pas en match.
Vous avez une explication ?
L’effectif a été renouvelé, on n’a pas assez de repères, il y a de nouveaux schémas à assimiler. Surtout, on se met une pression supplémentaire. Tout le monde parle de nos très grands joueurs, mais nous n’arrivons pas à produire grand chose. Alors, sans se l’avouer, on doute.
Que vous inspire le déplacement à Bordeaux, samedi ?
L’UBB est une équipe très joueuse. Sur ses performances, elle devrait être placée plus haut dans le classement (Bordeaux est neuvième). Ce sera un match difficile, nous en sommes conscients. Mais nous devons gagner à l’extérieur, car l’écart entre le deuxième et le neuvième (huit points) est mince.
Comment aborder tactiquement ce match ?
D’abord être encore plus rigoureux que nous le sommes actuellement sur les phases de conquête.»
Propos recueillis par Richard ESCOT
Re: Benjamin FALL
C'est moi ou quand on lit cette interview on a l'impression qu'il est complètement détaché ? On ne sent pas la motivation du joueur pour la fin de saison de son club mais plutôt la hâte de partir relever son challenge à Montpellier ...
J'espère que c'est qu'une impression et qu'il est juste maladroit ou que les journalistes l'orientent dans ce sens parce que sinon ça me déçoit .
J'espère que c'est qu'une impression et qu'il est juste maladroit ou que les journalistes l'orientent dans ce sens parce que sinon ça me déçoit .
Re: Benjamin FALL
Super deçu par ce discours. Ca serait moi il ne jouerait plus puisque le club était un choix par défaut et qu'il a hate de se barrer :x .
Re: Benjamin FALL
Ouai bien bon vent a lui. On a pas besoin de mec qui sont juste la parce-qu’ils ont vu de la lumière. :evil:
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grandpoulpe
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pausecitron
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Re: Benjamin FALL
dommage c'etait un beau joueur, mais trop fragile,pas tres motivé.
de toute facon contre bayonne ca c est vu qu'il etait completement detaché....
bon vent a lui a montpellier
de toute facon contre bayonne ca c est vu qu'il etait completement detaché....
bon vent a lui a montpellier