Jonathan SEXTON

[dorgda]

Sexton : «Jouer en France me rendra meilleur»
Par Arnaud Coudry, 11-10-2013

Sexton, le maître à jouer du Racing-Métro. - Panoramic
L’Irlandais, ouvreur star du Racing-Métro, opposé dimanche soir à Clermont en Coupe d’Europe, se confie sur sa nouvelle vie.

Recrue phare du Racing-Métro, Jonathan Sexton est rare dans les médias. Avant d’affronter Clermont dimanche soir en ouverture de la H Cup, l’Irlandais, triple champion d’Europe avec le Leinster, revient pour Le Figaro sur les débuts en demi-teinte de son équipe. Deux mots reviennent en boucle: progresser et réussir.
Le Racing a du mal à exprimer toutson potentiel depuis le début de la saison. Ressentez-vous une pression particulière ?
Jonathan Sexton : Oui. Je veux que l’équipe tourne bien et qu’elle joue mieux. Mais c’est difficile et cela prend du temps, car l’équipe a beaucoup changé. Mais on sait ce qu’on doit faire et comment y parvenir. La saison est encore longue. On était en train de s’améliorer jusqu’à la semaine dernière. On a connu contre Grenoble un creux dans nos performances (défaite à domicile 20-22) mais on a ainsi pu identifier ce qui n’allait pas.
Il va vite falloir corriger car vous basculez déjà sur la Coupe d’Europe…
On concède deux pénalités en fin de match qui nous font perdre. Sans cela, on n’aurait pas les mêmes préoccupations aujourd’hui. Mais peut-être est-ce un mal pour un bien ? On a mis les choses à plat, on a parlé de nos erreurs. Un gros défi nous attend face à Clermont, l’une des meilleures équipes d’Europe. La défaite contre Grenoble est un pas en arrière. Mais les gars qui ont disputé le Four Nations (les Argentins Hernandez et Imhoff, le Sud-Africain Kruger) sont de retour. Ils vont nous apporter de l’enthousiasme. Cela va nous faire du bien.
Créer des automatismes est-il seulement une question de temps ?
On a réussi à montrer vingt minutes par-ci, vingt minutes par-là, que l’on pouvait jouer un bon rugby. Par moments, on a perdu notre concentration. Mais on a montré qu’on était capable de bien faire. Le problème, c’est qu’on ne l’a pas fait durant 80 minutes. Si on n’est pas au maximum de nos capacités, on peut perdre.
On doit être patient, même si les joueurs ont hâte que les choses se mettent en place
—
Êtes-vous surpris par le niveau du Top 14 ?
Non. J’ai joué contre plusieurs équipes françaises en Coupe d’Europe. Mais avec le Leinster, c’était plus simple, car je connaissais mes coéquipiers depuis de nombreuses années. Au Racing, on est en train de construire une équipe. On doit être patient, même si les joueurs ont hâte que les choses se mettent en place. Tout le monde tire dans le même sens pour qu’on s’améliore. Jusqu’à la semaine dernière, nous avions gagné 5 de nos 8 matchs. En ne jouant pas bien à chaque match, nous arrivions à gagner.
Le jeu semble plus ouvert en H Cup qu’en Top 14…
Il y a une raison à cela : l’arbitrage est très différent en coupe d’Europe. Il est beaucoup plus strict. Si un joueur ralentit un ballon au sol, il y a pénalité. En France, ce n’est… pas pareil. (Rires)
Faites-vous profiter vos nouveaux coéquipiers de votre grande expérience européenne ?
Non. C’est une nouvelle équipe, une nouvelle expérience et les choses ne sont pas transposables. Je fais juste remarquer que le premier match européen est le plus important. Si tu le gagnes, tu te mets dans une bonne position pour te qualifier. Une défaite, c’est un boulet que tu traînes pour le reste de la compétition…
Avec le Leinster, j’avais disputé juste un ou deux matchs avant le début de la H Cup… Là, j’en suis déjà à neuf !
—
Avec le Racing, vous allez jouer beaucoup plus de matchs que vous n’en jouiez avec le Leinster. Craignez-vous la blessure ?
J’étais peut-être un peu fatigué contre Grenoble. J’ai déjà disputé neuf matchs en huit semaines. Après la tournée des Lions, mes vacances ont été courtes. Donc, oui, c’est difficile. Normalement, quand je jouais pour le Leinster, j’avais disputé juste un ou deux matchs avant le début de la H Cup… (Sourire) Là, j’en suis déjà à neuf ! Mais bon, j’adore jouer.
Appréciez-vous votre nouvelle vie en France ?
J’adore Paris et le nouveau défi que je me suis lancé. Des fois, ma famille ou mes amis me manquent. Mais je m’en fais de nouveaux. Ma femme et moi sommes vraiment heureux ici. J’apprécie ma nouvelle vie. Je me sens de mieux en mieux dans l’équipe et j’espère qu’avec le Racing nous allons nous améliorer. Comme ça, tout ira bien dans ma vie personnelle et professionnelle. Les deux sont liées et j’ai envie que les deux soient parfaites.
Vous êtes déjà considéré commel’un des meilleurs ouvreurs au monde. Qu’avez-vous à apprendre en France ?
Plein de choses. Il y a, c’est évident, beaucoup plus de pression ici. Je veux apprendre à la gérer, cela me rendra meilleur. Je suis heureux ici et le club est, je pense, content de moi. Tout n’est pas encore parfait, mais je me fais à l’équipe et l’équipe se fait à moi. Et on va progresser ensemble.
Quelle a été votre première réaction quand vous avez appris que Ronan O’Gara allait intégrer le staff du Racing ? Vous vous êtes dit «Oh non, pas encore lui…» ?
(Rires) Je n’étais pas au courant mais Ronan m’a appelé pour m’expliquer ses choix. Nous étions déjà devenus bons amis. (Sourire) Il m’est d’une aide précieuse au quotidien. Je peux me confier à lui, il m’aide dans mon jeu au pied et fait souvent le lien avec les entraîneurs. Il est devenu entraîneur mais il pourrait très bien rechausser les crampons (Rires) On a eu en effet des relations difficiles au début, Il y avait cette rivalité Munster-Leinster et on était en concurrence pour le maillot de l’équipe d’Irlande, mais les choses ont évolué, on est devenus bons amis. Ça arrive souvent ce genre de choses...

Interressant puisqu'on apprend qu'il a eu un coup de pompes pour Grenoble. Les entraineurs ne gerent pas encore bien les etats de forme on dirait si on considere qu'ils ont fait Wiwi blessé en plus :?

[grandpoulpe]

rlande: Trois nouveaux appelés pour la Tournée de novembre
Par Fabien Pomiès le 23/10/2013 à 13:49, mis à jour le 23/10/2013 à 13:49@RugbyramaFR
Ce mercredi, Joe Schmidt, le sélectionneur de l'Irlande a dévoilé sa liste de trente-quatre joueurs pour les tests de novembre. Dans le groupe, trois nouveaux font leur apparition: David Kearney, Jack McGrath et James Coughlan. A noter que Jonny Sexton est le seul joueur retenu à évoluer hors des frontères. Le XV du Trèfle affrontera les Samoa, l'Australie et la Nouvelle-Zélande.

M.....ils auraient pu l'oublier ! Enfin JW doit être content

[vincent]

C'est surtout la que tu vois qu'entre la volonté d'une Fédération et le talent d'un joueur. C'est le joueur qu'il l'emporte.

[dorgda]

Irlande: Sexton blessé et incertain face aux All Blacks
Par Clément Mazella le 17/11/2013 à 12:49, mis à jour le 17/11/2013 à 12:52@RugbyramaFR
Le demi d'ouverture de l'Irlande, Jonathan Sexton, s'est blessé à un ischio-jambier samedi lors du revers à Dublin contre l'Australie (32-15). Son sélectionneur, Joe Schmidt, attend avec impatience les résultats des examens que va passer le joueur du Racing-Metro, afin de savoir s'il peut compter sur lui pour la venue des All Blacks dimanche prochain.

[Antonin]

Et bien ça va être sympa la reprise au racing

[l'Irlandais]

Source
Désolé, on n'a pas fait exprès!

[Racingmetro59157]

Document exclusif : La lettre de Jonathan Sexton à Brian O'Driscoll
En savoir plus sur http://www.lerugbynistere.fr/chroniques ... 7WPot8F.99

Cher Brian,


Je t'écris pour te dire que tu avais raison. J'aurais pu te le dire de vive voix, il y a quelques semaines, lorsque nous nous sommes retrouvés en sélection. Mais je n'en ai pas eu le courage : question d'amour propre, sans doute. Néanmoins, après les défaites du Racing contre Clermont et les Harlequins, je crois qu'il ne m'en reste plus beaucoup. Ainsi, aujourd'hui, je prends ma plume pour faire mon mea culpa.

Je me souviens que tu m'avais déconseillé de partir en France, il y a quelques mois. Tu m'avais raconté qu'après la coupe du Monde 2007, tu avais été courtisé par Biarritz, et qu'avec le recul, tu n'avais jamais été aussi heureux de dire non. Je t'avais traité de vieux con, trop flippé à l'idée de sortir de ton bled, ce patelin d'éleveurs de moutons qui t'a élevé au rang de Dieu vivant, à la droite de Jésus Christ et de Bono. Je m'étais moqué qu'un club comme Biarritz espère te recruter. Sérieusement, Brian O'Driscoll à Biarritz ? Et pourquoi pas Dan Carter à l'Usap tant qu'on y est ! Je t'avais dit que moi, c'était un vrai grand club, prétendant au bouclier de Brennus et à la Coupe d'Europe, qui mettait le pognon sur la table pour moi. Aujourd'hui, je me dis que Biarritz c'était peut-être pas si mal : si la qualité de jeu est quasiment la même, au moins là-bas il y a la plage.

Pourtant, je m'étais laissé séduire. On m'avait promis Paris. La Ville Lumière. La Tour Eiffel, l'Arc de Triomphe, le Louvre. Je m'étais projeté dans un mauvais film de Woody Allen où Carla Bruni jouerait aussi mal que Frédéric Michalak dans une pub Sofinco. Mais mon quotidien, malheureusement, n'a rien d'une carte postale animée d'1h30.

Parce que le Racing, déjà, ce n'est pas Paris. En fait, je crèche dans un pavillon de banlieue à Antony. Là-bas, tout est si mort. Mes voisines sont de vieilles bourgeoises qui s'ennuient et croient s'encanailler en lisant Fifty Shades of Grey. Les plus délurées d'entre elles se glissent parfois un doigt dans la culotte en matant un poster de Nicolas Sarkozy. Leurs maris sont souvent absents. Tous sont des sosies de notre président, Jacky Lorenzetti. Le genre qui portent des pulls noués autour des épaules, qui jouent au tennis entre couilles fripées le week-end et qui prennent leur pied en faisant des karaoké de Michel Sardou aux congrès du MEDEF. Ah putain, je regrette tant Dublin !

Bien sûr, je pars souvent en expédition à Paris, pour me changer les idées. Mais la gare est à 15 minutes à pied, et il en faut 30 de plus en RER pour rejoindre le centre la capitale. Le RER ! Tu verrais la ligne B... elle est peuplée par des gens qui s'habillent comme Mathieu Bastareaud et à l'intérieur, ça sent comme dans le short de Luc Ducalcon après un match où il s'est chié dessus en mêlée pour la énième fois. J'aurais dû me douter de quelque chose pourtant. Le « Racing Métro »... quand tu inclus pas ta ville dans le nom de ton club, c'est bien parce que t'as honte de quelque chose.

Tu te doutes bien que dans un tel environnement, il est difficile de s'épanouir. Finalement, le seul truc qui me rappelle le pays, c'est le premier truc que j'ai cherché à fuir en venant en France : Ronan O'Gara. Ronan est comme une vieille gastro, c'est toujours quand tu crois en être définitivement débarrassé qu'il revient à la charge. Tous les matins à l'entraînement, je suis obligé de me taper son sourire faux cul de vendeur de voitures d'occasion, ses conseils à la con. J'ai 27 ans bordel, je l'ai pas attendu pour savoir taper une pénalité ! Pendant les matchs, il épie mes moindres faits et gestes. Il vient m'apporter mon tee, alors que n'importe quel ramasseur de balle, comme le petit Marc Andreu, pourrait s'en charger. Dès que je rate un coup de pied, il me glisse à l'oreille « Ah, je l'aurais mise celle-là ». Je crois qu'un jour je vais craquer et lui en coller une dans sa sale gueule toute rouge en direct. Mais ça ferait trop plaisir à la presse, qui attend le moindre faux pas pour parler de « crise » au Racing.

En même temps, c'est vrai, ça se passe pas très bien depuis le début de la saison. On joue comme des merdes ! Mais apparemment, ça, c'est normal, puisqu'on est en Top 14. Le French Flair... au lieu de regarder des compilations d'essais sur Youtube, j'aurais mieux fait de mater un derby basque en streaming, j'aurais tout de suite compris l'arnaque. Mais même en jouant petit bras, on ne gagne pas. Il y a manifestement un problème avec les coachs. Labit et Travers, ils me font pourtant marrer. C'est un peu le cliché good cop - bad cop. Le premier est chauve et a l'air gentil, le deuxième a des cheveux gominés et a l'air très con. Mais les deux sont sans solution. Du coup, celui qui a l'air con passe son temps à dire que c'est la faute des arbitres si on perd, confirmant que les apparences ne sont pas toujours trompeuses. Ils feraient mieux de bosser leur anglais déjà, ça faciliterait les choses. Quand tu as fait ta carrière entre Montauban et Castres et que t'as l'intention de coacher le RC Barbarians, faire une formation de 3 mois chez Wall Street English serait pourtant la moindre des choses.

Moi-même, je suis très critiqué depuis mon arrivée. Je ne suis pas bon, c'est vrai. De là à me mettre sur le banc et à titulariser Benjamin Dambielle à ma place, je crois qu'il faut quand même pas déconner. Je m'étais jamais senti autant humilié de toute ma carrière... et pourtant une fois, Aurélien Rougerie a réussi un plaquage sur moi. Les coachs me reprochent souvent de trop attaquer la ligne, de vouloir faire l'exploit tout seul. Du coup je leur demande « Mais je fais quoi, alors ? Je fais une passe à Fabrice Estebanez, à Henry Chavancy ? ou une sautée sur l'aile de Benjamin Fall ? ». Ils ont pas su quoi me répondre. Du coup, Labit a dit que c'était la faute des arbitres.

Vivement que Jamie Roberts revienne... enfin, revienne, vivement qu'il arrive quoi. Ca fait au moins 5 mois qu'il est blessé. Je sais qu'il est médecin – il le répète assez souvent quand il va draguer rue Princesse, ça marche super bien avec les gourdes fans de Grey's Anatomy – mais de là à s'opérer lui-même avec un cure-dent et du Mercurochrome, faudrait pas déconner non plus.

Depuis une semaine, Mike Phillips est arrivé lui aussi. Après Toulon qui essaye de reformer les Springboks 2007, Jacky essaye donc de recruter toute l'équipe des Lions Britanniques. Mike est arrivé au club, très souriant, très motivé, bon esprit, pas du tout l'image du mec arrogant qu'on se fait de lui. Par exemple, il a tout de suite sympathisé avec Maxime Machenaud, son concurrent à la mêlée. Enchanté, ce dernier lui a proposé d'aller dîner chez lui, et lui a même présenté sa copine. Je crois qu'on a pas fini de vivre des drames cette saison....

Bref, je sais que je te saoule probablement avec mes problèmes. Pour toi tout va bien. A 42 piges, tu cours toujours plus vite que Yannick Jauzion à 18 ans. Tu t'amuses à faire des passes entre les jambes en plein match, tranquille. Le Leinster marche sur l'Europe, vous avez écrasé Northampton 40 à 7... si vous vous arrangez pour pas rencontrer Clermont avant la finale, le titre ne vous échappera pas je suppose. J'aurais bien aimé te croiser plus tard dans la compétition, mais je me suis fait une raison. Cette année, je tente le doublé : gagner l'Amlin Cup pour la deuxième fois consécutive est sûrement l'objectif le plus raisonnable de la saison. On se retrouvera donc en sélection, pour le Tournoi. Enfin vu mon niveau de jeu actuel, je suppose que tu joueras avec ce puceau rouquin de Paddy Jackson. Moi je lui apporterai le tee, et j'aurai alors réalisé mon pire cauchemar : me sentir aussi vieux, mauvais et aigri qu'O'Gara.

Je te laisse, je pars faire une séance photo avec Mahout, l'éléphant obèse qui sert de mascotte au club. Sûrement le seul truc qui respire que Mike Phillips n'essayera pas de sauter pas avant la fin de la saison. Allez, prends bien soin de toi.

En savoir plus sur http://www.lerugbynistere.fr/chroniques ... 7WPot8F.99

Decevant ? que penser ? :x

[psy78]

Decevant ? que penser ? :x

hum hum ....

[AbaRa]

Decevant ? que penser ? :x

qu'à peine avoir commencé à lire, on voit que c'est un faux, un article humoristique ...

Modération : Donc merci de ne pas pas flooder dans cette partie ... pour ça il y a le comptoir de la bodega

[pausecitron]

"Il y a des matches où j'ai pensé: 'Je vais aller voir le club lundi et lui dire que je rentre'. Et il y en a d'autres où je suis sorti en me disant: 'Ça y est, c'est bon, c'est le début de quelque chose, je peux rester ici pour toujours'. C'est pareil avec tout. Il y a toujours des hauts et des bas", a confié le N.10 en marge du rassemblement de l'équipe nationale en vue du Tournoi des six nations.

C'était compliqué au début
Le XV du Trèfle doit affronter dimanche l'Ecosse et l'interview sera diffusée dans son intégralité par la BBC avant le coup d'envoi de la rencontre. "C'est plutôt facile de s'intégrer dans le club parce que tout le monde fait son maximum pour que vous vous sentiez comme à la maison. Mais les choses les plus simples, comme faire ses courses, faire le plein d'essence, des trucs comme ça, vous ne savez pas où c'est. Tout est une source de stress alors c'est vrai que c'était compliqué au début", poursuit-il.

L'ancienne vedette du Leinster qui a fait l'été dernier le choix de l'expatriation donne également son sentiment sur les choix de ses coéquipiers Paul O'Connell, Keith Earls et Rory Best qui ont récemment décidé de rester en Irlande avec l'appui de leur fédération. "C'est bien qu'ils aient choisi de rester, assure-t-il encore. C'est important pour le rugby irlandais. Félicitations à l'IRFU, elle a eu le courage de prendre la bonne décision. Excusez-moi de passer pour un hypocrite, mais c'est bien ça le plus important". Agé de 28 ans, Sexton compte 38 sélections en équipe nationale. Cet été, il a également disputé la tournée des Lions britanniques. Avec le Racing, il a disputé 14 matches de Top 14 et 5 de coupe d'Europe pour deux essais inscrits. Il a également été longtemps freiné dans son intégration par une blessure aux ischio-jambiers.