Selon RMC,
Pierre Berbizier pourrait être nommé directeur sportif et avoir sous sa responsabilité le duo Darricarère-Milhas ou Dal Maso Prosper.
Le Racing dans la presse
Re: Le Racing dans la presse
oué, il y a des rumeurs de Berbizier à Agen la saison prochaine comme manager général.
mais cela a été démenti par Berbizier
mais cela a été démenti par Berbizier
Alors que l'éventualité de voir Pierre Berbizier débarquer à Agen a été avancé, le manager du Racing-Métro a tenu démentir cette information. « Demandez à Monsieur Tingaud (Ndlr, président du SU Agen) la teneur de notre dernier entretien à la porte du vestiaire du Racing à Agen (la saison dernière). C’est la dernière fois que nous avons été en contact tous les deux. (Sourires agacés). Pour le reste, je vous laisse alimenter le marasme. »
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Re: Le Racing dans la presse
Pour ma part, tout est dit.AbaRa a écrit :oué, il y a des rumeurs de Berbizier à Agen la saison prochaine comme manager général.
mais cela a été démenti par Berbizier« Demandez à Monsieur Tingaud (Ndlr, président du SU Agen) la teneur de notre dernier entretien à la porte du vestiaire du Racing à Agen (la saison dernière).»« Pour le reste, je vous laisse alimenter le marasme. »
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Re: Le Racing dans la presse
Rugby - Top 14
Nouveau départ pour le Racing
Presque au complet, le Racing ne va pas tarder à retrouver l'ensemble de son effectif. Une bonne nouvelle au moment d'attaquer la dernière moitié de la saison.
Bonne humeur et grosse envie se côtoient dans les entraînements du Racing. Le retour des blessés y est pour quelque chose.
Le froid et le brouillard ont beau rendre glaciale et fantomatique l'ambiance autour de la Croix-de-Berny, il y a des sourires sur les visages des nombreux (36) Racingmen présents à l'entraînement. L'infirmerie francilienne ne fait plus l'actualité et tout le monde apprécie. « Ça fait toujours plaisir de voir l'infirmerie se vider. Les joueurs qui reviennent apportent beaucoup d'enthousiasme et les entraînements s'en ressentent », lâche ainsi Mathieu Lorée. De fait, Pierre Berbizier n'a jamais disposé d'autant de joueurs à l'entraînement. Il a même pu mettre en place un atelier où trois équipes de douze joueurs se partageaient de rugueuses phases d'attaque-défense. Pas besoin d'être un fin observateur pour voir qu'il y a de la bonne humeur et de l'envie dans ce groupe.
« Etre nombreux à l'entraînement, c'est bien pour l'émulation. Les entraînements sont plus poussés et on sent la concurrence s'installer », remarque Rémy Vaquin. Même François Steyn et Fabrice Estebanez ont pris part normalement aux ateliers, signe que la ligne de trois-quarts va bientôt pouvoir amorcer le cycle de rotation tant attendu par Pierre Berbizier. « Le retour des blessés va permettre de faire tourner. La rotation est essentielle car certains organismes ont payé le prix fort de son absence. Mais il faut être patient avec un garçon comme Estébanez qui va devoir s'adapter à notre collectif. Nous avons retrouvé un banc en première ligne et elle avance à nouveau. Il faut maintenant faire de même avec les trois-quarts », reconnaît le manager du Racing.
Loin des polémiques, « Chavancy n'a pas joué car il avait deux points de déchirure à son mollet et sortait de quinze jours sans rugby. Le dernier contrôle ne permettait de le faire jouer contre Agen. Fin de l'histoire » ou des rumeurs de transferts, « Nous comptons toujours sur Sébastien Chabal et Lionel Nallet, même s'il faudra s'adapter à leur choix », Pierre Berbizier travaille sur le déplacement à Montpellier (samedi, 14h05). ( :mrgreen:
) Même si ce match n'est « pas plus important que les autres. Abordé dans le même état d'esprit que les matches aller ». Pour lui, l'essentiel est de mettre enfin un terme au déséquilibre créé par la Coupe du monde et de récupérer enfin son effectif au complet. Pour faire mieux que cette sixième place en milieu de saison ? « Nous sommes à notre place compte tenu des difficultés que nous avons rencontrées avec notre effectif. D'autres sont plus mal. Et mis à part Toulouse et Clermont, personne ne se détache. Nous sommes dans le deuxième wagon ». «Aujourd'hui, le Racing va bien mais il faut rester vigilants pour ne pas retomber dans nos travers», Rémy Vaquin
Du côté des joueurs, il y a un sentiment du devoir accompli bien plus perceptible. « Il y a eu une grosse remise en question de tout le monde. Nous avons beaucoup parlé pour ne plus sortir du match pendant les rencontres. Aujourd'hui, j'ai l'impression que nous sommes sortis des matches compliqués que nous n'arrivions pas à gagner. Reste à confirmer contre Montpellier », avance Mathieu Lorée. Rémy Vaquin savoure également le fait de venir s'entraîner libéré. « C'est toujours plus facile d'enchaîner après une victoire. Aujourd'hui, le Racing va bien mais il nous faut rester vigilants pour ne pas retomber dans nos travers ». Reste que Montpellier sera un bon test pour voir si les Racingmen tiennent leurs résolutions. « Ils viennent de prendre une claque à domicile. Je crois que c'est une équipe orgueilleuse qui voudra réagir et nous attendra. Quoi qu'il en soit, ce sera dur. Pour eux, comme pour nous », conclut Vaquin pour résumer l'état d'esprit du Racing.
Un article enfin positif dans l'Etripe, ça mérite sa place sur le fofo !!! :o
Bizarrement c'est toujours l'impression de ce qui se dit dans ces lignes aujourd'hui lorsque j'allais aux entrainements... :mrgreen:
A bon entendeur... :mrgreen:
Nouveau départ pour le Racing
Presque au complet, le Racing ne va pas tarder à retrouver l'ensemble de son effectif. Une bonne nouvelle au moment d'attaquer la dernière moitié de la saison.
Bonne humeur et grosse envie se côtoient dans les entraînements du Racing. Le retour des blessés y est pour quelque chose.
Le froid et le brouillard ont beau rendre glaciale et fantomatique l'ambiance autour de la Croix-de-Berny, il y a des sourires sur les visages des nombreux (36) Racingmen présents à l'entraînement. L'infirmerie francilienne ne fait plus l'actualité et tout le monde apprécie. « Ça fait toujours plaisir de voir l'infirmerie se vider. Les joueurs qui reviennent apportent beaucoup d'enthousiasme et les entraînements s'en ressentent », lâche ainsi Mathieu Lorée. De fait, Pierre Berbizier n'a jamais disposé d'autant de joueurs à l'entraînement. Il a même pu mettre en place un atelier où trois équipes de douze joueurs se partageaient de rugueuses phases d'attaque-défense. Pas besoin d'être un fin observateur pour voir qu'il y a de la bonne humeur et de l'envie dans ce groupe.
« Etre nombreux à l'entraînement, c'est bien pour l'émulation. Les entraînements sont plus poussés et on sent la concurrence s'installer », remarque Rémy Vaquin. Même François Steyn et Fabrice Estebanez ont pris part normalement aux ateliers, signe que la ligne de trois-quarts va bientôt pouvoir amorcer le cycle de rotation tant attendu par Pierre Berbizier. « Le retour des blessés va permettre de faire tourner. La rotation est essentielle car certains organismes ont payé le prix fort de son absence. Mais il faut être patient avec un garçon comme Estébanez qui va devoir s'adapter à notre collectif. Nous avons retrouvé un banc en première ligne et elle avance à nouveau. Il faut maintenant faire de même avec les trois-quarts », reconnaît le manager du Racing.
Loin des polémiques, « Chavancy n'a pas joué car il avait deux points de déchirure à son mollet et sortait de quinze jours sans rugby. Le dernier contrôle ne permettait de le faire jouer contre Agen. Fin de l'histoire » ou des rumeurs de transferts, « Nous comptons toujours sur Sébastien Chabal et Lionel Nallet, même s'il faudra s'adapter à leur choix », Pierre Berbizier travaille sur le déplacement à Montpellier (samedi, 14h05). ( :mrgreen:
) Même si ce match n'est « pas plus important que les autres. Abordé dans le même état d'esprit que les matches aller ». Pour lui, l'essentiel est de mettre enfin un terme au déséquilibre créé par la Coupe du monde et de récupérer enfin son effectif au complet. Pour faire mieux que cette sixième place en milieu de saison ? « Nous sommes à notre place compte tenu des difficultés que nous avons rencontrées avec notre effectif. D'autres sont plus mal. Et mis à part Toulouse et Clermont, personne ne se détache. Nous sommes dans le deuxième wagon ». «Aujourd'hui, le Racing va bien mais il faut rester vigilants pour ne pas retomber dans nos travers», Rémy VaquinDu côté des joueurs, il y a un sentiment du devoir accompli bien plus perceptible. « Il y a eu une grosse remise en question de tout le monde. Nous avons beaucoup parlé pour ne plus sortir du match pendant les rencontres. Aujourd'hui, j'ai l'impression que nous sommes sortis des matches compliqués que nous n'arrivions pas à gagner. Reste à confirmer contre Montpellier », avance Mathieu Lorée. Rémy Vaquin savoure également le fait de venir s'entraîner libéré. « C'est toujours plus facile d'enchaîner après une victoire. Aujourd'hui, le Racing va bien mais il nous faut rester vigilants pour ne pas retomber dans nos travers ». Reste que Montpellier sera un bon test pour voir si les Racingmen tiennent leurs résolutions. « Ils viennent de prendre une claque à domicile. Je crois que c'est une équipe orgueilleuse qui voudra réagir et nous attendra. Quoi qu'il en soit, ce sera dur. Pour eux, comme pour nous », conclut Vaquin pour résumer l'état d'esprit du Racing.
Un article enfin positif dans l'Etripe, ça mérite sa place sur le fofo !!! :o
Bizarrement c'est toujours l'impression de ce qui se dit dans ces lignes aujourd'hui lorsque j'allais aux entrainements... :mrgreen:
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Re: Le Racing dans la presse
Lu sur rugbyrama.fr
"Normal de connaître des hauts et des basLe progrès en rugby comme dans beaucoup d’autres domaines est lié à l’histoire du jeu, aux idées reçues, qu’il s’agit pour avancer, de faire évoluer en changeant les formes de la production. En fait, hier comme aujourd’hui et encore plus pour demain, il faut du neuf, de l’efficace, qu’il s’agit aussi de jumeler, je dirais, quand même, avec un peu d’esthétisme.
Il est normal qu’une équipe connaisse des phases de hauts et de bas. Les premières génèrent de l’optimisme, les autres du pessimisme. Mais la progression se gère dans l’acceptation de ces deux contraintes car elles sont aussi dangereuses pour ne pas dire périlleuses l’une que l’autre. D’une part, quand les résultats sont bons, se satisfaire de ce que l’on sait faire, d’autre part, quand ils sont mauvais, la tendance c’est de rentrer mentalement dans la misère de l’impossible.
Justement en terme de progression et progrès, quel que soit le contexte, il s’agira bien sûr dans l’interaction, joueurs-entraineur, de partager les exigences de toutes sortes qu’imposent le jeu. Là où, ceux qui gagnent, analyseront quels sont les aspects perfectibles du jeu sur lesquels il convient de se pencher pour progressivement aller encore plus vers l’excellence, ceux qui perdent, plutôt que de faire part des seules limites du moment sans les cacher, ni les négliger, devraient davantage se pencher sur leur potentiel et sur les ressources disponibles. Il ne s’agit pas d’occulter les limites du moment mais d’abord de prendre en compte de mobiliser le collectif sur les opportunités d’amélioration qui justement permettront de dynamiser adéquatement le potentiel collectif et individuel .
Quand on veut sortir de la crainte pour ne pas dire du trouble qui en général ne manque pas de s’installer quand les résultats ne suivent pas, la tendance logique c’est de faire appel aux seules vertus combattives et dans la foulée courage et vaillance collective deviennent les seuls outils de résolutions face à l’échec. La victoire ne peut passer que par un surpassement de tous dans le combat. Ce choix dans un match, pousse logiquement le collectif à s’appuyer sur un jeu forcement restrictif. Certes, quand «la gagne» survient, le courage investi force l’admiration alors que celle-ci ne devrait être et ne saurait être que la conséquence d’une autre volonté, celle de «vouloir s’en sortir» en se mobilisant pour peser sur le jeu en réalisant les progrès attendus. En fait, il s’agit bien, d’abord d’accepter et de réellement désirer convertir, transformer sa production, ce que l’on est dans l’instant capable de faire, bref, comme on dit en rugby, d’être aussi à la quête du «mieux jouer» .
On ne sort que rarement gagnant des seuls combats absurdes dans lesquels l’énergie est dépensée gratuitement bien trop souvent contre l’autre, contre l’adversaire et pas pour soi. Bien sûr, quand la victoire est là, on se précipite dans la joie sans avoir pour autant résolu l’essentiel. Les problèmes se représenteront à l’identique le match suivant.
Face à l’échec, créer un autre état d’esprit est incontournable, il faut accepter de vouloir sortir de l’humiliation que procure un mauvais classement. Pour retrouver le sourire il faut résister à l’idée que le changement n’est pas entre les mains de ceux qui jouent, ce qui veut dire aussi qu’il convient d’accepter les risques du jeu et ses aléas.
Il n’existe pas de gestion optimale puisque en sport, les meilleures stratégies laissent toujours une place au hasard et à la chance, mais en s’appuyant sur la seule gestion de l’échec, on ne s’inscrit plus dans une logique de performance. On développe individuellement et collectivement plutôt un sentiment d’auto destruction qui bloque les initiatives.
Pourquoi s’entrainer en rugby si n’est pas développé «l’art du possible». Ce qui veut dire qu’il faut savoir bien cerner le potentiel d’une équipe et sa capacité momentanée à produire ensemble. Quand est crée par rapport au jeu le juste état d’esprit, que les contenus de travail sont appropriés, quand les progrès surgissent, qu’ils deviennent palpables, alors les résultats ne relèvent plus de «l’art de l’impossible». "
http://www.rugbyrama.fr/pierre-villepre ... full.shtml
"Normal de connaître des hauts et des basLe progrès en rugby comme dans beaucoup d’autres domaines est lié à l’histoire du jeu, aux idées reçues, qu’il s’agit pour avancer, de faire évoluer en changeant les formes de la production. En fait, hier comme aujourd’hui et encore plus pour demain, il faut du neuf, de l’efficace, qu’il s’agit aussi de jumeler, je dirais, quand même, avec un peu d’esthétisme.
Il est normal qu’une équipe connaisse des phases de hauts et de bas. Les premières génèrent de l’optimisme, les autres du pessimisme. Mais la progression se gère dans l’acceptation de ces deux contraintes car elles sont aussi dangereuses pour ne pas dire périlleuses l’une que l’autre. D’une part, quand les résultats sont bons, se satisfaire de ce que l’on sait faire, d’autre part, quand ils sont mauvais, la tendance c’est de rentrer mentalement dans la misère de l’impossible.
Justement en terme de progression et progrès, quel que soit le contexte, il s’agira bien sûr dans l’interaction, joueurs-entraineur, de partager les exigences de toutes sortes qu’imposent le jeu. Là où, ceux qui gagnent, analyseront quels sont les aspects perfectibles du jeu sur lesquels il convient de se pencher pour progressivement aller encore plus vers l’excellence, ceux qui perdent, plutôt que de faire part des seules limites du moment sans les cacher, ni les négliger, devraient davantage se pencher sur leur potentiel et sur les ressources disponibles. Il ne s’agit pas d’occulter les limites du moment mais d’abord de prendre en compte de mobiliser le collectif sur les opportunités d’amélioration qui justement permettront de dynamiser adéquatement le potentiel collectif et individuel .
Quand on veut sortir de la crainte pour ne pas dire du trouble qui en général ne manque pas de s’installer quand les résultats ne suivent pas, la tendance logique c’est de faire appel aux seules vertus combattives et dans la foulée courage et vaillance collective deviennent les seuls outils de résolutions face à l’échec. La victoire ne peut passer que par un surpassement de tous dans le combat. Ce choix dans un match, pousse logiquement le collectif à s’appuyer sur un jeu forcement restrictif. Certes, quand «la gagne» survient, le courage investi force l’admiration alors que celle-ci ne devrait être et ne saurait être que la conséquence d’une autre volonté, celle de «vouloir s’en sortir» en se mobilisant pour peser sur le jeu en réalisant les progrès attendus. En fait, il s’agit bien, d’abord d’accepter et de réellement désirer convertir, transformer sa production, ce que l’on est dans l’instant capable de faire, bref, comme on dit en rugby, d’être aussi à la quête du «mieux jouer» .
On ne sort que rarement gagnant des seuls combats absurdes dans lesquels l’énergie est dépensée gratuitement bien trop souvent contre l’autre, contre l’adversaire et pas pour soi. Bien sûr, quand la victoire est là, on se précipite dans la joie sans avoir pour autant résolu l’essentiel. Les problèmes se représenteront à l’identique le match suivant.
Face à l’échec, créer un autre état d’esprit est incontournable, il faut accepter de vouloir sortir de l’humiliation que procure un mauvais classement. Pour retrouver le sourire il faut résister à l’idée que le changement n’est pas entre les mains de ceux qui jouent, ce qui veut dire aussi qu’il convient d’accepter les risques du jeu et ses aléas.
Il n’existe pas de gestion optimale puisque en sport, les meilleures stratégies laissent toujours une place au hasard et à la chance, mais en s’appuyant sur la seule gestion de l’échec, on ne s’inscrit plus dans une logique de performance. On développe individuellement et collectivement plutôt un sentiment d’auto destruction qui bloque les initiatives.
Pourquoi s’entrainer en rugby si n’est pas développé «l’art du possible». Ce qui veut dire qu’il faut savoir bien cerner le potentiel d’une équipe et sa capacité momentanée à produire ensemble. Quand est crée par rapport au jeu le juste état d’esprit, que les contenus de travail sont appropriés, quand les progrès surgissent, qu’ils deviennent palpables, alors les résultats ne relèvent plus de «l’art de l’impossible». "
http://www.rugbyrama.fr/pierre-villepre ... full.shtml
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grandpoulpe
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Re: Le Racing dans la presse
De nombreux spectateurs veulent voir des équipes qui affichent un dynamisme de victoire. C'est comme ça.
Janvier n'est pas un mois favorable non plus.
Perso je ne pourrais pas y assister, le seul match à "domicile" que je devrais manquer cette saison
Janvier n'est pas un mois favorable non plus.
Perso je ne pourrais pas y assister, le seul match à "domicile" que je devrais manquer cette saison
Pas favori du challenge 2020/2021
Re: Le Racing dans la presse
betis a écrit :je ne sais pas si vous avez lu comme moi mais le match face à Toulouse samedi prochain pourrait se jouer devant 40 000 à 45 000 spectateurs .....
si vous retirez les frais de location de ce stade onéreux pour le club qui y joue , le tout devant 45 000 spectateurs , je ne sais pas mais , il vaut mieux le jouer à Colombes devant 14 000 spectateurs , dans une belle ambiance...
c'est trop tard pour cette année !
peut etre suis-je dans l'erreur ?
le racing ne pouvait le savoir à l'avance non plus , donc situation complexe à gerer !
je comprends mieux le matraquage des affiches dans le métro , esperons une meilleure chambrée de spectateurs...
je ne crois pas sur le fait de mettre tout sur le dos de la crise , plusieurs paramètres s'y rajoutent ...
le prix des places par exemple? le Stade francais a tout compris pour ca avec des places a 5 euros
Le racing a encore de l'experience a prendre la dessus...
Re: Le Racing dans la presse
Et il y a encore une semaine rien n'est "perdu" pour remplire le stade
Re: Le Racing dans la presse
La proximité des matchs de l'EDF n'aide pas non plus :? et ca les organisateurs auraient du le prevoir :o
Re: Le Racing dans la presse
En même temps le premier match c'est France - Italie c'est pas non plus un match qui va attirer les foules...dorgda a écrit :La proximité des matchs de l'EDF n'aide pas non plus :? et ca les organisateurs auraient du le prevoir :o
Je préfère largement me déplacer pour un Racing Toulouse (ok je suis un peu partie pris mais bon :mrgreen: )