[15ieme journée Top14] R92 - CO

[AbaRa]

Bon heureusement que Vannes lui a du cœur et que même avec un carton jaune à la 5ieme minutes ils battent Paris ce qui fait que l'on n'est pas 13ieme à la fin de cette journée ... Bon par contre la 14ieme place se rapproche aussi

[pgrs]

Franchement heureusement que Paris est aussi nul que nous sinon on finirait 13e.

Je suis d'accord, il faut qu'un club de supporter fasse quelque chose pour que le Racing n'aligne plus jamais Le Bail et Lancaster

[Roger-Rabbit]

On est 11eme à égalité avec le LOU qui a un match en moins, 2 points d avance sur le barragiste et 6 sur le dernier Vannes qu on jouera à la prochaine journée

Si on perd contre eux (largement possible), on va vraiment jouer la dernière place.

J ai regarde notre calendrier
Vannes à domicile
La Rochelle à l extérieur
Pau à domicile
Clermont à l extérieur
UBB à domicile
USAP a l extérieur
SF à domicile
Bayonne à domicile
Toulouse à l extérieur
Montpellier à domicile
LOU à l extérieur

LaRochelle, Clermont,UBB, USAP, Toulouse et LOU c est des défaites assurées
SF, Bayonne, Montpellier je pense qu au max on gagne un des trois matchs
Et victoires difficiles contre Vannes et Pau
Je pense sincèrement qu avec ce niveau actuel on finira 13eme au mieux

[nene]

Bon ben nous y sommes !!
Bonjour la pression contre vannes pour la prochaine journée….
C’est incroyable quand même le niveau de l’équipe !
Mieux en deuxième mi-temps mais quand même !
J’ai bien cru que le président était en train faire un malaise ….
Et toujours la tête de Lancaster impassible …

[joe_bird]

Je pense sincèrement qu avec ce niveau actuel on finira 13eme au mieux

Ben on aura un match en plus à la fin du championnat

[minitaf]

Prestation honteuse de cette équipe
La charnière titulaire est vraiment minable.
LeBail est hyper lent, à chaque fois marque un temps d'arret avant de faire la passe. On voit la différence dès que Gibert rentre.
Farrell est sans doute encore blessé. Il joue arrêté ou à 2 à l'heure.
Du coup, les 3/4, arrêtés, reçoivent le ballon en meme temps que la défense.
Habosi, Spring, Tuisova, et un peu Tedder font de leur mieux mais ça ne suffit pas.

On a aussi perdu des ballons d'essais, notamment sur des touches.

On a vu Jacky l'air vraiment dépité.
Je croise les doigts pour que ça soit la valse du staff dès lundi.

[Guillaume1309]

Après un beau match bien préparé, on souhaite un joyeux anniversaire à notre Dimitri ! En espérant que personne n'ait mis le nez dans la poudre en 3e mi temps avec le Kendji. Ça fait un moment qu'on a pas d'histoires.
Et si on se cotisait pour lui payer une formation ? Faut bien commencer par quelqu'un et quelle belle occasion

[RCF15]

Suivi le match sur multiplex et sur les sites de l’Équipe et Rugbyrama. Vu les commentaires et les notes sur Rugbyrama.

Tedder a fait du Tedder. Le Bail de même, tout comme Lancaster, avec ce commentaire de Rugbyrama : "il n'a pas le niveau du top 14". Gibert pas à la hauteur. Déçu des permformances de Laclayat, Baudonne, Tao, Taritt et surtout de Diallo.
Mais la grosse déception vient de Farrell : à part des chandelles qui ont ravi Dumora, il n'a rien de rien fait. Il continue d’être aussi mauvais. Son niveau de jeu n'est pas digne de son passé.
Sinon pour les meilleurs,toujours les mêmes : Habosi, Tuisova, Dayimani et Joseph.

Comment est il possible d'avoir dans les lignes arrières 2 joueurs, avec un ton en dessous Spring, qui soient à un bon niveau.
Alors contre Vannes, j'espère que James et Naituvi seront rétablis, sinon on aura encore Le Bail, Tedder et Lancaster. Quid du demi d'ouverture ?
Farrell ou Gibert ? C'est pareil au même, et on est 12ème.
Vu la tête de J.Lorenzetti, il risque d'y avoir du changement ... ou des sanctions ...

[minitaf]

Article MIDOL du jour (sans pitié, mais mérité) :
Grand club au bord du précipice : comment le Racing, vice-champion d’Europe en 2020, en est-il arrivé là ?

Vice-champion d’Europe il y a quatre saisons, le Racing 92 est aujourd’hui douzième de son championnat domestique et éliminé de la course à la Champions Cup. Comment expliquer une telle dégringolade ?

Il y a les faits. Abrupts, cinglants, navrants : après quinze journées de championnat, le Racing 92 et sa légion d’internationaux se traînent péniblement à la douzième place du Top 14, ne sont plus qu’à six points d’une lanterne rouge qu’ils recevront à Nanterre dans quinze jours (Vannes) et ont bien conscience de ne pouvoir compter sur la Challenge Cup, la coupe Mickey du rugby pro, pour sauver une saison d’ores et déjà foirée. "Nous sommes lucides, dit Henry Chavancy, l’enfant du club que l’on envoie en conférence de presse lorsque le temps vire à l’orage. Aujourd’hui, nous sommes bien plus proches de la quatorzième place que de la sixième. À la place de nos adversaires, je viendrais aussi à Paris-La Défense-Arena pour y gagner".

Comment le club des Hauts-de-Seine, vice-champion d’Europe il y a quatre saisons, en est-il arrivé là ? Et comment expliquer que cette équipe, sur le papier plus armée que ne le seront jamais l’Aviron bayonnais, le Castres olympique, Perpignan ou Clermont, autant de clubs qui aujourd’hui la toisent fièrement, n’ait gagné aucun des six derniers matchs qu’elle ait eu à disputer en Top 14 ?

Un projet de jeu illisible
La récente contre-performance francilienne face à Castres (20-27) a d’abord confirmé ce que l’on pressentait depuis plusieurs mois : le Racing 92, un jour piqué de défense et de dépossession, le lendemain boulimique de passes et de courses, n’a pas la moindre identité de jeu.

Depuis que Joshua Tuisova est revenu de convalescence, le credo le plus efficace que l’on connaît à l’attaque francilienne pourrait même être résumé ainsi : "Prends la balle et secoue-moi tout ça, Josh". Trop prévisible, dès lors que les adversaires ont compris où se trouvent les chevilles du titan mélanésien… Samedi après-midi, les Ciel et Blanc, imprécis dans leurs transmissions et en retard sur tous les soutiens, auraient donc pu attaquer des heures sans pouvoir mettre en danger le rideau tarnais, donnant l’impression fallacieuse que le CO était tout à coup devenu le Leinster, ne signant une rébellion qu’au moment où Xavier Sadourny, le coach d’en-face, fit sortir du terrain ses quatre meilleurs joueurs (Santiago Arata, Leone Nakarawa, Andrea Cocagi et Abraham Papali’i).

Dès lors qu’il est privé de ses deux leaders majeurs, Nolann Le Garrec et Gaël Fickou, le club des Hauts-de-Seine est comme soudainement dépourvu d’intelligence de jeu et de caractère, se regroupant sous les poteaux avec un fatalisme qui ne sied guère à un sport de combat. "Nolann et Gaël nous manquent, dit Stuart Lancaster. C’est une évidence. Mais nous allons aussi tous nous remettre en questions, à commencer par moi. Ce que nous produisons sur le terrain ne retranscrit pas du tout l’intensité de nos entraînements, il faut comprendre pourquoi".

Le déchet technique qui saute au visage, lorsque l’on observe un match du Racing 92, se traduit avant tout par la faiblesse des Franciliens sous les ballons hauts, un secteur de jeu si important à l’heure actuelle que selon nos informations, l’arrière international Brice Dulin (34 ans), passé par la banlieue ouest de 2014 à 2020 et en fin de contrat au Stade rochelais, aurait même été sondé récemment. Sans succès, pour l’instant…

Un recrutement raté
C’est que le Racing 92 n’est plus aussi attractif que par le passé, camarades. Le club cherchait un numéro 8 Jiff ? Il avait approché le Palois Beka Gorgadze qui a décliné. Il voulait remplacer Nolann Le Garrec par une pointure ? Paul Graou a préféré rester le « numérobis » d’Antoine Dupont à Toulouse.

Jean-Baptiste Lafond, champion de France avec la génération showbiz en 1990 et spectateur assidu du club Ciel et Blanc, analyse : "Pour moi, le Racing a perdu son attractivité depuis le jour où il est devenu le vide-grenier de La Rochelle. Comment a-t-on pu laisser partir des joueurs comme Brice Dulin, Georges-Henri Colombe, Yoan Tanga ou Teddy Thomas ? Et Teddy Iribaren, ne pensez-vous pas qu’il rendrait de fiers services au Racing à l’heure actuelle ? Je ne comprends pas… Pourtant, grâce à tout ce qu’a donné Jacky Lorenzetti en termes de moyens humains et d’infrastructures, il y aurait tout pour réussir au Racing. Aujourd’hui, nul ne rend sa confiance au patron".

En tout état de cause, le recrutement francilien a fait flop ces dernières années et, de Warrick Gelant en passant par Siya Kolisi, Veikoso Poloniati ou Emiliano Boffelli, les stars étrangères ont toutes eu du mal à s’imposer. Thomas Laclayat et Romain Taofifenua ? S’ils ont parfois des soubresauts, ils ne tournent pas assez souvent à la puissance qu’on leur connaissait jusque-là.

Pour autant, l’homme incarnant le mieux le recrutement erratique de ces dernières saisons n’est autre qu’Owen Farrell, arrivé d’Angleterre la saison dernière. "Le summum, poursuit Lafond, c’est lui. Pourquoi prendre le meilleur buteur de l’histoire du rugby anglais s’il ne frappe ni les pénalités ni les transformations ? En l’état, il ne sert à rien et joue comme un ouvreur de Fédérale : lentement et à 30 mètres de la ligne d’avantage. Mais comme le font tous les mecs de 33 piges, hein ! Il n’y a pas de surprise ! Je suis dur mais à mes yeux, le recrutement de Farrell, c’est une première carotte".

Parce qu’il y en a d’autres ? "Le recrutement, c’est l’ingrédient qui fait la bonne tenue d’un plat. Parlons du chef cuistot (Stuart Lancaster), à présent : déjà, il n’est pas au bord du terrain et ça m’agace. Et puis, il ne respire pas la joie de vivre ; ce n’est pas Achille Zavatta, le type. Enfin et surtout, il ne parle pas Français. Comment peut-il transmettre ses idées, de l’émotion et donner envie à ses joueurs de bander pour lui et son projet ? Le rugby, c’est de l’humain, que je sache ! L’image de Stuart Lancaster, perché en haut de sa tribune avec une mine d’enterrement, me fout toujours les boules et c’est la deuxième carotte. La troisième étant le fait que Lancaster fasse systématiquement jouer son fils Dan, qui est probablement un super garçon mais aussi un trois-quart centre de Pro D2".

Si on ne sera pas aussi catégorique que ne l’est l’ancien arrière du XV de France au sujet de Dan Lancaster, pas plus mauvais qu’un autre, on s’interrogera néanmoins avec « Jibé » sur le fait que le jeune Dan, issu de la deuxième division anglaise, soit apparu sur toutes les feuilles de match du Racing cette saison…

Quel avenir pour Stuart Lancaster ?
Comment sauver ce qui peut encore l’être ? Et Jacky Lorenzetti, seul patron à bord depuis l’annonce du départ du président Laurent Travers, va-t-il oui ou non se séparer de Stuart Lancaster pour créer un électrochoc, réveiller un groupe qui s’endort et éviter la relégation ? Difficile à dire. Déjà, les joueurs soutiennent encore le coach anglais, auquel ils reconnaissent pour la plupart des qualités techniques indéniables.

Et puis, le licenciement de Stuart Lancaster coûterait une fortune au mécène historique du Racing 92, l’ancien sélectionneur de la Rose étant lié au club de la banlieue ouest jusqu’en 2027. Pour autant, la direction francilienne enchaînera ce début de semaine une série de réunions qui déboucheront probablement sur des décisions capables de changer, à court terme, le visage du Racing.

Quant à Laurent Travers, attendu bientôt à Bayonne en tant que directeur du rugby, il se murmure en coulisses qu’il pourrait rejoindre la Côte basque plus tôt que prévu… et pourquoi pas dès février. En toutes ces strates, le Racing dodeline, s’agite et tremble. Jamais, depuis la tempête essuyée par le club à l’époque où Sébastien Chabal avait en 2012 demandé à Jacky Lorenzetti la tête de Pierre Berbizier, la vieille dame du far ouest n’avait autant suinté la crise… Et la peur, serait-on tenté de dire…

[pgrs]

Article complètement réaliste, notamment pour le fait qu'on se fasse piller par La Rochelle depuis 2020.

Je retiens plusieurs éléments :
- "les joueurs soutiennent encore le coach anglais, auquel ils reconnaissent pour la plupart des qualités techniques indéniables"
Honnêtement Lancaster est le dernier clou dans le cercueil, mais je ne lui en veut pas tellement (sauf pour continuer à aligner Le Bail et son fils).
Le Racing était déjà en pleine déliquescence avant son arrivée.

- "la direction francilienne enchaînera ce début de semaine une série de réunions qui déboucheront probablement sur des décisions capables de changer, à court terme, le visage du Racing"
Enfin le genre d'informations que j'attendais depuis trop longtemps, en espérant que cela débouche sur quelque chose de concret

- "Laurent Travers, attendu bientôt à Bayonne en tant que directeur du rugby, il se murmure en coulisses qu’il pourrait rejoindre la Côte basque plus tôt que prévu… et pourquoi pas dès février"
Bon débarras, il est au moins à moitié responsable de cette chute du Racing depuis le départ de Labit