Benjamin Dambielle
Publié : 03 janv. 2015, 11:33
Un article tres interessant sur Dambi:
Dambielle : "Ma vie est à Paris et je n'en partirai pas"
L'accident bête de Johan Goosen, en descendant du bus la veille du match à Toulouse, lui garantit une place de titulaire à l'ouverture pour au moins deux semaines supplémentaires. Dambielle, lui, ne se blesse plus depuis sa rupture des ligaments croisés en 2012, et a gagné le respect de ses partenaires à la force de son travail dans l'ombre :"Cela fait trois ans que je suis au Racing et je m'y sens très bien. Je suis quelqu'un qui travaille beaucoup pour mon équipe et c'est pour cela que mes coéquipiers me font confiance quand je suis sur le terrain" . Cette présence retrouvée sur les gazons de Top 14 lui donne t-elle pour autant l'idée de voir ailleurs si l'herbe ne serait pas un peu plus verte qu'à Colombes ? La réponse de l'ouvreur est catégorique : "Ma vie est à Paris et je n'en partirai pas. Je suis dévoué au club pour des raisons personnelles. Je ne me mets pas la pression de passer numéro 2 ou numéro 1. Je suis là pour gagner des titres avec le Racing mais je n'ai pas l'ambition personnelle de passer devant qui que ce soit" .
Le contrat de Benjamin Dambielle court jusqu'en juin 2017 avec le club francilien. Il sera donc là pour voir débarquer à son poste Dan Carter et Rémi Tales, deux internationaux qui partiront devant lui dans la hiérarchie des ouvreurs la saison prochaine : "Je commence à être habitué à la concurrence", répond Dambi avec le sourire. "Tout le monde connaît ma situation ici, les coachs et le président ont confiance en moi et savent ce que je peux apporter au groupe. Je travaille dans ce sens-là et j'espère que cette relation va perdurer. Après, je comprendrais si on doit se passer de moi un jour" . D'ici là, il sera sûrement sorti de l'ombre encore quelques fois pour enfiler sans bruit son costume de maestro intérimaire.
Dambielle : "Ma vie est à Paris et je n'en partirai pas"
L'accident bête de Johan Goosen, en descendant du bus la veille du match à Toulouse, lui garantit une place de titulaire à l'ouverture pour au moins deux semaines supplémentaires. Dambielle, lui, ne se blesse plus depuis sa rupture des ligaments croisés en 2012, et a gagné le respect de ses partenaires à la force de son travail dans l'ombre :"Cela fait trois ans que je suis au Racing et je m'y sens très bien. Je suis quelqu'un qui travaille beaucoup pour mon équipe et c'est pour cela que mes coéquipiers me font confiance quand je suis sur le terrain" . Cette présence retrouvée sur les gazons de Top 14 lui donne t-elle pour autant l'idée de voir ailleurs si l'herbe ne serait pas un peu plus verte qu'à Colombes ? La réponse de l'ouvreur est catégorique : "Ma vie est à Paris et je n'en partirai pas. Je suis dévoué au club pour des raisons personnelles. Je ne me mets pas la pression de passer numéro 2 ou numéro 1. Je suis là pour gagner des titres avec le Racing mais je n'ai pas l'ambition personnelle de passer devant qui que ce soit" .
Le contrat de Benjamin Dambielle court jusqu'en juin 2017 avec le club francilien. Il sera donc là pour voir débarquer à son poste Dan Carter et Rémi Tales, deux internationaux qui partiront devant lui dans la hiérarchie des ouvreurs la saison prochaine : "Je commence à être habitué à la concurrence", répond Dambi avec le sourire. "Tout le monde connaît ma situation ici, les coachs et le président ont confiance en moi et savent ce que je peux apporter au groupe. Je travaille dans ce sens-là et j'espère que cette relation va perdurer. Après, je comprendrais si on doit se passer de moi un jour" . D'ici là, il sera sûrement sorti de l'ombre encore quelques fois pour enfiler sans bruit son costume de maestro intérimaire.