[ERCC] Leicester - Racing92

[dorgda]

Passons à autre chose, même si on n'a pas grand'chose à se mettre sous la dent :mrgreen:

Quelqu'un a regardé un des derniers matchs de Leicester ?

Non plus mais je sais qu'ils ont battu Northampton a Northampton avec la grosse equipe

[jb190967]

J'ai regardé la deuxième mi-temps des Tigers contre les Saints.
Le joueur qui sortait vraiment du lot sur cette rencontre côté Leicester était leur ouvreur Freddie Burns qui est le troisième ou quatrième choix pour le Quinze de la Rose derrière George Ford, Owen Farrell et Henry Slade. Il anime bien le jeu et est très bon face aux perches.
Leur talonneur Harry Thacker est très dynamique mais peut-être un peu faible en mêlée.
Tuilagi n'a pas montré grand chose, Ayerza et Cole étaient également en retrait par rapport à leur niveau habituel.
Leurs deuxièmes lignes Barrow, Kitchner et Slater sont grands et solides mais n'ont pas le niveau de Kruis, Launchbury ou Itoje.
Goneva est toujours dangereux et Tait relance beaucoup.

[dorgda]

Si vous voulez voir les highlights:
https://www.youtube.com/watch?v=tGsDz22z5rw

Il y a quand même de grosse erreurs defensives des Saints et un cadeau sur un essai en contre.

[plektor]

Au final il n'y a qu'un avion ?

[dorgda]

Sacré champion d’Europe à deux reprises avec Toulon, Chris Masoe sera dimanche, à Nottingham (16h15), l’un des fers de lance d’un Racing 92 présent pour la première fois de son histoire en demi-finale de la Champions Cup. Face aux Tigres de Leicester, le vieux lion, qui fêtera ses 37 ans le 15 mai prochain, entend bien rugir encore de plaisir.

Chris, vous faites partie des six joueurs de l’effectif du Racing 92 à avoir déjà participé à au moins une demi-finale de Coupe d’Europe. Votre rôle est-il particulier cette semaine ?
Je ne suis pas un grand parleur. Je suis plutôt dans l’action, vous savez. Dans le vestiaire, j’ai mon i-phone, mon casque et je danse… En ce qui me concerne, j’essaye d’être plutôt relax. Ce sera une grande ambiance dans un stade plein. Et pour moi l‘important, c’est de réussir à me concentrer sur ma performance pour l’équipe. Dimanche, l’important, ce sera d’être dans l’action. Les mots importeront peu.

Comment sentez-vous vos coéquipiers à l’approche de ce rendez-vous ?
C’est un grand match dans l’histoire du Racing. C’est une première pour le club et donc une grande opportunité. Nous avons l’occasion de faire l’histoire dimanche. C’est beaucoup de pression parce que c’est un match éliminatoire. J’ai déjà eu l’occasion, c’est vrai, de jouer ce genre de matches. C’est une question de mental, mais c’est aussi pour ce genre de matches que nous pratiquons le rugby.

Ça a été un long processus pour ce club. Mais il y a quinze jours, contre Toulon, nous avons su répondre présent à la fois en tant qu’équipe, mais aussi chacun l’un pour l’autre.

En quoi la victoire sur Toulon en quarts de finale a-t-elle modifié l’équipe ?
Je pense que ce qui a fait la différence ce jour-là, c’est que nous avons cru tous ensemble que c’était possible de battre cette équipe de Toulon. Nous avons cru en nous et c’est là le principal enseignement de ce match et de cette victoire, d’avoir la conviction que notre équipe pouvait le faire.

Que vous inspire cette équipe des Tigers de Leicester qui vous fera face dimanche ?
J’ai eu l’occasion de les jouer plusieurs fois en quarts ou en demi-finales. C’est une grande équipe avec un nouvel entraîneur, Aaron Mauger, que je connais très bien pour avoir évolué à ses côtés avec les All Blacks. C’est un bon coach. Ils ont aussi de bons joueurs. Mais vous savez, on va aller là-bas, et c’est tout ce à quoi se résume le rugby, si vous voulez vraiment être le meilleur, alors vous serez le meilleur. Nous avons l’équipe, nous avons les joueurs, nous avons le staff: tout est réuni pour bien faire.

Qu’est-ce qui selon vous a changé fondamentalement au Racing cette saison ?
Vous savez, ça a été un long processus pour ce club. Mais il y a quinze jours, contre Toulon, nous avons su répondre présent à la fois en tant qu’équipe, mais aussi chacun l’un pour l’autre. Parce qu’on a besoin de chacun. Ce n’est pas comme le tennis ou la boxe. On a besoin que chacun fasse son job et contribue à ce collectif.

La défense sera-t-elle la clé du match selon vous dimanche face à cette équipe de Leicester ?
Evidemment. Si vous prétendez gagner un match comme celui-là, il vous faut une bonne défense. On l’a vu contre Toulon, en quarts de finale, où nous avons eu confiance dans notre système et dans notre défense.

C’est ce qui est beau et fait la force de Dan, vous savez, rien ne change avec lui et c’est ce qui fait de lui l’un des meilleurs joueurs au monde.

Que vous apporte le fait d’évoluer cette saison aux côtés d’autant de compatriotes et d’anciens coéquipiers tels que Dan Carter ou Joe Rokocoko ?
Oui, c’est quelque chose de spécial. On avait l’habitude de jouer ensemble et c’est ce qui est appréciable dans le rugby de pouvoir se recroiser à nouveau. C’est une bonne chose. Espérons que nous pourrons ensemble apporter quelque chose au Racing. Parce que nous le méritons et ce club le mérite.

Dan Carter a choisi de rejoindre le Racing en partie pour cette Coupe d’Europe. A-t-il changé depuis son arrivée au club ?
Dan est quelqu’un de vraiment spécial pour l’équipe, c’est l’un des meilleurs joueurs au monde à son poste. Avec son expérience, c’est un atout supplémentaire pour l’équipe. Mais c’est ce qui est beau et fait la force de Dan, vous savez, rien ne change avec lui et c’est ce qui fait de lui l’un des meilleurs joueurs au monde.

Le président Jacky Lorenzetti s’est-il adressé au groupe avant ce rendez-vous historique ?
Pas vraiment. C’est quelqu’un qui a beaucoup fait pour ce club et il mérite aujourd’hui d’être récompensé de cet investissement. Pour tout dire, on ne l’a pas vu de la semaine. C’est peut-être sa façon de gérer son stress (rires).

Le Racing est le seul club du Top 14 rescapé dans ce dernier carré face à trois formations anglaises. Est-ce une responsabilité de représenter le rugby français ?
Ces dernières années, il y avait toujours deux ou trois clubs français. Cette année, le Racing est le seul, c’est vrai. Alors, oui, c’est une motivation supplémentaire d’être à la hauteur pour le rugby français.

[dorgda]

L’ancien ailier des All Blacks (47 essais en 68 sélections) va disputer sa première demi-finale de coupe d’Europe, dimanche, contre Leicester. Il évoque la montée en puissance de son équipe, son expérience des matches couperets et l’apport de son ami Dan Carter.


Qu’est-ce que la victoire contre Toulon a changé au sein de l’équipe ?
Joe Rokocoko : Les vingt premières minutes de la deuxième mi-temps ont été décisives. Toulon attaquait et attaquait... On a défendu notre ligne pendant je ne sais pas combien de temps. J’ai eu l’impression d’avoir plaqué tout la journée. On a fait preuve de caractère durant cette période. Malgré cette pression, on a réussi ensemble. Ensuite, durant les dix dernières minutes, on a tenu le choc. Ça nous a donné de la confiance. Avec cette victoire contre Toulon, nous avons prouvé que nous avons notre place en demi-finale.
Avez-vous le sentiment que l’équipe a gagné en maîtrise et en sérénité au fil de la saison ?
La saison a été longue. Il était important d’être motivé chaque semaine. Yannick (Nyanga) l’a dit la semaine dernière : c’est facile d’être excité pour une demi-finale mais il faut l’être pour les autres matches, quand la pression est moindre. Il faut qu’on ait la même régularité. Qu’on joue chaque match comme s’il s’agissait d’une demi-finale. C’est ce qui a été notre moteur cette année avec le Racing.
On plaisantait avec Mike Phillips et on se disait : "C’est fini la Challenge Cup !"
Vous êtes en France depuis 2008. Que représente, pour vous, cette demi-finale européenne ?
C’est énorme ! Après la victoire contre Toulon, on plaisantait avec (le demi de mêlée gallois) Mike Phillips et on se disait : «C’est fini la Challenge Cup !» Quand on jouait à Bayonne, on ne s’attendait pas à en être là. C’est un sacré changement en deux ans, de passer de la Challenge Cup à une demi-finale de Champions Cup. C’est une réussite pour le club et pour moi. J’ai toujours voulu disputer ce genre de matches, c’est pour cela que je suis venu au Racing.
Avec Dan Carter et Chris Masoe, vous avez l’expérience des matches à élimination directe. Avez-vous un rôle particulier auprès des jeunes joueurs du Racing ?
Tous les gars qui ont de l’expérience, qui connaissent ces moments, on doit veiller à ce que tout le monde fasse bien le «job» la semaine avant le match. Que tout le monde se prépare, au niveau individuel, comme il faut. Car c’est en se préparant bien dans la semaine qu’on peut arriver en pleine confiance au match. Si on ne fait pas bien les choses en amont, ça peut avoir une mauvaise influence sur votre état d’esprit. C’est ce genre de conseils que l’on donne : «Prépare-toi bien et sois toi-même car si tu es là, dans cette équipe, c’est que tu en as les capacités.» On doit guider les jeunes et leur ôter la pression. Si on fait bien notre travail durant la semaine, ils n’auront pas la pression.
Préférez-vous évoluer à l’aile ou au centre ?
Au poste qui est le plus utile pour l’équipe. Que ce soit à l’aile, au centre, ou n’importe où. Chaque équipe alignée et chaque adversaire est différent. Cela dépend du style de jeu que l’on pratique. Henry (Chavancy) est toujours blessé, «Goose» (Johan Goosen) a montré qu’il pouvait jouer au centre. La richesse de n’importe quelle équipe, c’est la profondeur de son effectif. Qu’il y ait des gars qui puissent jouer s’il y a un blessé.
Quelqu’un comme Ronan O’Gara est complètement excité. Parce qu’il a déjà vécu une expérience comme celle-là
Qu’est-ce que cela vous fait de vous retrouver sur le terrain avec vos anciens coéquipiers chez les All Blacks, Dan Carter et Chris Masoe ?
C’est super ! On se marre bien tous les jours, on échange des blagues. Ce qui nous importe est de nous mêler et de nous intégrer au groupe de joueurs qu’il y a ici. On se comprend sur le terrain avec Dan.
Dan Carter a-t-il changé depuis la dernière fois où vous aviez joué avec lui ?
Non, c’est le même ! Il est toujours aussi relax. Mais sur le terrain, il peut dire : «Qu’est-ce que tu fais ? Fais-ci, fais-ça !» Lors de son premier match avec le Racing, contre Northampton, il a tenté un coup de pied et m’a dit : «Chope ce ballon !» Je n’avais plus l’habitude, ça faisait si longtemps… (Rires) Après le match, je lui avais dit : «Tu sais, ça fait longtemps que je n’ai pas joué avec toi.» Il m’a dit : «OK, désolé.» Mais, même si on est amis, on doit vouloir le meilleur pour l'équipe.
Profitez-vous de l’expérience des autres joueurs qui ont déjà disputé une demi-finale européenne ?
Je pense qu’ils n’ont pas trop à parler. S’ils le font, cela pourrait embrouiller nos esprits. On profite de leur expérience dans la préparation de ce match. Quelqu’un comme Ronan O’Gara est complètement excité avant un match comme ça. Parce qu’il a déjà vécu une expérience comme celle-là. C’est important d’avoir des gars comme ça dans l’équipe, qui savent comment gérer une fin de match très serrée. Avec la pression, la vision du jeu peut être faussée. C’est là que l’expérience d’un gars comme Dan (Carter) peut être précieuse. Il sait organiser l’équipe en fonction des situations.

[plektor]

J'ai regardé la deuxième mi-temps des Tigers contre les Saints.
Le joueur qui sortait vraiment du lot sur cette rencontre côté Leicester était leur ouvreur Freddie Burns qui est le troisième ou quatrième choix pour le Quinze de la Rose derrière George Ford, Owen Farrell et Henry Slade. Il anime bien le jeu et est très bon face aux perches.
Leur talonneur Harry Thacker est très dynamique mais peut-être un peu faible en mêlée.
Tuilagi n'a pas montré grand chose, Ayerza et Cole étaient également en retrait par rapport à leur niveau habituel.
Leurs deuxièmes lignes Barrow, Kitchner et Slater sont grands et solides mais n'ont pas le niveau de Kruis, Launchbury ou Itoje.
Goneva est toujours dangereux et Tait relance beaucoup.

Oui leur 2 je le vois bien nous poser quelques problèmes, on n'a pas trop l'habitude de défendre ce genre de talonneurs.

Je pense quand même que notre défense est véritablement supérieure. Si elle tient tout est possible.

Selon le Parisien on sera 400.

[plektor]

Ce soir 18h, comme d'hab ?

Sinon Claassen s'est entrainé normalement, pas comme Le Roux qui n'a rien fait.
Le Roux et Nyanga absents, ça peut faire mal.

Lauret - Claassen - Masoe en 3L, Dubarry sur le banc ?

Les retours de Tameifun at Laulala semblent se confirmer par contre.

http://rmcsport.bfmtv.com/rugby/racing- ... 68433.html

[plektor]

Effectivement :mrgreen:

Racing 92 Compte certifié ‏@racing92 30 sil y a 30 secondes
Dans moins d'une heure vous connaitrez le XV de départ Ciel et Blanc pour la 1/2 Finale de dimanche #LEIR92 ! Soyez patients ! #RacingFamily

Dernière tentative !

Ben Arous - Chat - Tameifuna
Charteris - Van der Merwe
Lauret - Claassen - Masoe
Machenaud - Carter
Imhoff - Dumoulin - Laulala - Rokocoko
Dulin

Brugnaut, Lacombe, Ducalcon - Carizza - Dubarry - Phillips, Goosen - Dupichot

[plektor]

- Très grosse surprise au talonnage !
- Big Ben est là
- Le Roux est là
- Goosen reconduit au centre en l'absence de Laulala.
- Vartanov sur le banc, ainsi que Dupichot.